Une luxueuse collection de produits ménagers éco-responsables ? C’est ce que Diptyque a lancé tout récemment. Parfumer le quotidien est un art et une manière d’envisager la vie pour la maison française. Portée par l’imagination de ses fondateurs et leur sens inné du beau, l’enseigne se plaît à inventer de nouvelles façons de parfumer les jours. Avec cette collection complète de produits d’entretien pour la maison intitulée La Droguerie, elle invite à prendre soin de son intérieur en conjuguant le beau à l’utile, et le plaisir des sens au respect de l’environnement. D’heure en heure, entre la cuisine et la buanderie, la chambre et le salon, avec le nettoyant multi-surfaces, la bougie anti-odeurs ou encore le liquide de vaisselle, on se promène parmi les figuiers et les orangers en fleur et les effluves de basilic ou de bois ciré.

Ce qu’on adore ? Créée dans une démarche d’écoconception, la collection place la responsabilité environnementale sur le même plan que la beauté des objets et le plaisir des sens. Les formules liquides comprennent 99% d’ingrédients naturels ou d’origine naturelle, et sont biodégradables. Fabriqués en verre recyclé, les flacons ambrés sont rechargeables. D’un simple geste, on y verse le contenu de leurs recharges en plastique 100% recyclable. Quant aux parfums, créés par Olivier Pescheux, parfumeur et ami de la maison, ils sont formulés à partir d’ingrédients naturels, certifiés par Ecocert.

Le lait d’entretien fait briller cuir et bois, la bougie ne masque pas les odeurs mais capte carrément leurs molécules pour les éliminer définitivement sur des notes estivales, placée dans une armoire, la céramique tient les mites à distance des pulls en cachemire, manteaux en laine tout en parfumant l’espace, le nettoyant multi-surfaces lave, détartre, fait briller tandis que le liquide vaisselle nettoie et dégraisse plats et ustensiles. Le travail terminé, tous ces jolis produits décorent parfaitement votre intérieur. Et si laver, nettoyer, briquer, dégraisser, lustrer, faire briller, cirer, entretenir, pomponner ou protéger devenait presque un plaisir ?