Inscrivez-vous à notre newsletter

François Didisheim

31 October 2023

Si vous êtes des fidèles de cette chronique tirée des newsletters hebdomadaires du magazine Lobby, le nom de la Banque Transatlantique ne vous est pas inconnu. Cette institution de plus de 140 ans est active comme jamais ! Avant tout banque de gestion privée, elle articule aujourd’hui son activité autour de cinq métiers principaux : la gestion de portefeuille, les crédits, le Private Equity, la planification patrimoniale et, enfin, des solutions d’assurance-vie. Et pour rappel important, la banque fait partie du groupe Credit Mutuel Alliance Fédérale. L’un des groupes bancaires les plus solides en Europe.

Valérie Lecacheux, administratrice déléguée de la BT (pour les intimes) en Belgique l’affirme : « Faire partie d’un grand groupe est un atout incontestable. » Pour Valérie, « Les différentes crises qui se sont succédées depuis 2005 incitent les familles fortunées à se tourner vers des institutions solides, dotées d’une bonne notation, d’une perspective à long terme et qui propose une large gamme de services. Les clients veulent travailler avec une maison qui répond à leurs besoins et qui les accompagne à long terme. Vous devez penser sur plusieurs générations. » On l’a écrit plus haut, les investissements en Private Equity font partie des activités de la BT. Une catégorie particulière d’actifs, à laquelle l’institution s’intéresse depuis longtemps : « Cette classe d’actif offre l’avantage d’être à la fois une alternative et un complément aux stratégies cotées liquides. La BT dispose, en la matière, d’une expertise reconnue qui lui permet d’offrir à ses clients une offre adaptée » souligne Bertrand Marot, administrateur exécutif. « Il s’agit également de cartographier les différents types de fonds, notamment en fonction des géographies, des millésimes, des différents segments (taille, secteur, stratégie, etc.) ou types de structures. »

Cependant, si on en comprend bien les avantages, l’investissement en Private Equity présente aussi des inconvénients, comme l’illiquidité et la durée de l’investissement. Pour compenser ces désagréments, la BT a un atout : « Nous proposons, quand la situation s’y prête, des formules de crédit spécifiques. L’échéance moyenne des investissements en Private Equity est de sept ans. Nous pouvons faire en sorte de ne pas « perturber » la gestion d’un portefeuille sur la base d’une ligne de crédit et ainsi couvrir les intervalles entre les différents appels de fonds et remboursements. Le choix du mode de détention des investissements en Private Equity est également très important et dépend des objectifs recherchés par les clients. Est-ce exclusivement un investissement de recherche de valorisation du patrimoine financier ou faut-il aussi combiner cet objectif avec d’autres, tels que la transmission à la génération suivante, par exemple ? La réponse à cela impacte aussi le choix d’investir, soit en personne physique, soit par interposition d’une société patrimoniale », poursuit Bertrand Marot.

Pour en revenir à la raison d’être d’une banque de gestion privée, il faut insister ici sur l’aspect “conseil en gestion” qui prévaut sur tout le reste. Et quand on sait que la BT conseille aussi ses clients belges pour leurs achats immobiliers à l’étranger, on se rend compte du potentiel qu’il y a pour cette vénérable institution, chez nous en Belgique.

Newsletter Lobby du 20 octobre 2023, rédigée par François Didisheim, fondateur de Lobby. Retrouvez Lobby, la revue des cercles du Pouvoir, ici

Photo de couverture : Valérie Lecacheux (administratrice déléguée de la Banque Transatlantique Belgium) et Bertrand Marot (administrateur exécutif)

Beauté & Santé

Black Pearl Awards 2024

Vie mondaine

20/02/2024

Publicité

Tous les articles

Publicité