Fauré le Page

“Ma sœur Pauline a créé en 2017 cette marque de linge de maison et de prêt-à-porter réalisés à partir de tissus imprimés à la main à Pondichéry.

“Leur vestiaire pensé en quelque sorte comme une playlist : éclectique, audacieux, féminin et toujours bien dosé. On y trouve des vêtements indémodables comme des créations de jeunes labels à suivre.

À l’angle de la rue des Saints-Pères et de la rue de Grenelle, la maison Saint Laurent a transformé la boutique, où étaient vendus sacs et souliers, en librairie-galerie.

Passionnée depuis le plus jeune âge par la mode et ses accessoires, elle entreprend en 2011 une formation de modiste en suivant différents ateliers, et en effectuant un stage chez une modiste à Gand, ainsi qu’une formation à Toulouse en France.

“C’est sans doute l’un des plus charmants musées parisiens. On y pénètre par une porte discrète sur la place de Furstemberg, qui est déjà un enchantement en soi, et ensuite on déambule dans l’appartement et l’atelier d’Eugène Delacroix, avant de sortir et d’accéder par un escalier au jardin.

“Autre adresse historique, ce bistrot semble avoir traversé le temps. Son décor n’a pas bougé : banquettes en moleskine, tables en bois patiné, murs couverts de céramiques et de tableaux…

Installée dans une maison de maître bruxelloise non loin des étangs d’Ixelles, une nouvelle (double) adresse signée Mario Olimpio (Primo), charme par son ambiance atypique et sa cuisine italienne revisitée.

“Le plus ancien restaurant chinois d’Anvers vient de changer de mains. Il a été repris par une nouvelle génération, mais conserve fort heureusement tout son charme old school avec ses néons, sa vaisselle vintage, son ambiance tout droit sortie d’un film de Wong Kar-wai.