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Manufacture des Gobelins

Bonnes AdressesExpositionParis 13eTourisme

Rédaction Eventail

01 February 2018

© Mobilier national | photo : Thibault Chapotot

[caption id="attachment_19183" align="alignnone" width=""]En 2016, la Galerie des Gobelins accueillait l’exposition collective “Tombée de métier”. [/caption]Les Gobelins, des siècles de tradition vivante. Son histoire remonte au XVe siècle et son âge d'or au règne de Louis XIV quand les liciers tissaient des centaines de tapisseries, dont les deux tiers étaient rehaussés de fils d'or.

Comme hier, les artistes d'aujourd'hui travaillent pour la célèbre manufacture sans signer leurs œuvres mais légitimement fiers car elles orneront les hauts lieux du pouvoir.

C'est également un lieu d'exposition depuis la réouverture de la Galerie des Gobelins en 2007. Il incarne le prestige d'une tradition française, le rayonnement d'une institution multiséculaire où s'expriment, entre autres missions, la vitalité de la création textile contemporaine et du design. En dépendent, outre les Gobelins, les manufactures de la Savonnerie à Paris, de Beauvais ainsi que les Ateliers nationaux de dentelle du Puy et d'Alençon.

MANUFACTURE DES GOBELINS
42 avenue des Gobelins, Paris 13e
www.manufacturedesgobelins.fr

Dans la Cour des Grands : Juan Carlos, Mémoires pour l’Histoire

Chroniques royales

C’est du jamais vu dans l’histoire des monarchies modernes : un souverain qui se penche sur son passé pour raconter sa propre vie, décrire son règne et y apporter les modifications nécessaires afin de corriger l’inconscient collectif. Juan Carlos fait œuvre d’historien, mais pas seulement. Il s’est révélé, dans son style et avec l’aide de Laurence Debray, un auteur très contemporain. Des mots simples, pas ou peu d’emphases et d’envolées historiques. Le roi déchu est factuel. Précis. Pétri d’humour plutôt que de fierté mal placée. Il est lui-même. “Réconciliation” où le récit d’un pécheur qui confesserait ses errances. À demi-mot …

Déjeuner avec Amélie d'Arschot

Vie mondaine

Lors d’un déjeuner organisé par L’Éventail, l’historienne Amélie d’Arschot est venue donner une conférence sur Élisabeth Vigée Le Brun (1755-1842). À travers une documentation abondante, elle a dévoilé les multiples visages de la célèbre portraitiste de la reine Marie-Antoinette : femme libre, stratège de son image, et artiste à la sensibilité inégalée. Un regard neuf sur cette peintre des xviiie et xixe siècles dont les œuvres, lumineuses et profondes, sont à (re)découvrir absolument. © Violaine le Hardÿ de Beaulieu

23/09/2025

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