Dans la Cour des Grands : Harry et Meghan : la fracture

Dans le monde de la mode et de la haute joaillerie, en Allemagne comme en Italie, à New York ou aux Baléares, un événement n’est pleinement réussi qu’en présence de la princesse Lilly de Sayn. Issue de la plus haute aristocratie, cette coqueluche des médias teutons méritait bien que l’on s’attarde sur son parcours plutôt atypique.

Au Japon, la tradition a été respectée à la lettre puisque le prince Hisahito, deuxième dans l’ordre de succession au trône, a célébré sa majorité selon un rite remontant au IXe siècle : la cérémonie du Kakan-no-Gi. Certains pensent même qu’elle serait encore plus ancienne. On avait certes un peu triché puisque le prince a fêté cette année ses 19 ans mais les huiles du protocole impérial, aussi rigoureux qu’immuable, avaient consenti à respecter le rythme scolaire du jeune homme et à retarder ce jour important d’une année.

C’est en la cathédrale de Westminster que la famille royale britannique a rendu un dernier hommage à la duchesse de Kent qui s’est était éteinte voici quelques jours à Wren House, sa résidence située dans l’enceinte du palais de Kensington. À 92 ans, Katherine Worsley était le membre le plus âgé du clan Windsor.

Alors que le Florentin, célèbre diamant des empereurs d’Autriche vient d’être redécouvert au Canada, d’autres bijoux créent aussi la surprise lors des belles vacations genevoises de novembre, à commencer par Sotheby’s qui présente un ornement de chapeau en diamants qui aurait appartenu à Napoléon.

C’est à l’invitation du président Al-Sissi que les souverains espagnols ont effectué un voyage officiel en Égypte, entre diplomatie, forum commercial et escapades culturelles.

Il y a des signes qui ne trompent pas. À Londres, les allers et venus aux grilles de Buckingham Palace se font de plus en plus rares. Un livreur, de temps en temps. Le personnel, chaque jour. Et puis le roi Charles, qui y fait un saut pour recevoir un ambassadeur ou un premier ministre. Alors, Buckingham deviendrait-il, peu à peu, un musée comme les autres ?

Ses 18 ans avaient été célébrés en grande pompe, ses 20 ans seront plus discrets, marqués par une série de portraits officiels et des photos du prince s’initiant au pilotage d’un avion. Car, en cet automne 2025, Christian de Danemark poursuit sa formation après avoir effectué son service militaire, entre février et mai. En effet, au terme de l’été, le prince Christian de Danemark a intégré l’école des hussards de Slagelse, au sud-ouest de Copenhague, afin d’obtenir, au bout d’une année, le grade de lieutenant. Un stage pratique suivra, de quoi préparer l’héritier du trône à toute éventualité puisque le Roi de Danemark est toujours chef de l’armée avec rang de général et d’amiral.

Dans le monde de la mode et de la haute joaillerie, en Allemagne comme en Italie, à New York ou aux Baléares, un événement n’est pleinement réussi qu’en présence de la princesse Lilly de Sayn. Issue de la plus haute aristocratie, cette coqueluche des médias teutons méritait bien que l’on s’attarde sur son parcours plutôt atypique.