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Le thé, la boisson la plus bue au monde après l'eau !

salondesthés

Rédaction Eventail

19 October 2016

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En six épisodes, nous allons explorer un peu plus ce délicieux breuvage aux multiples couleurs. Bu partout dans le monde sous des formes variées et selon des rituels propres à chaque région, le thé met nos cinq sens en éveil.

 Voir le thé …

Les novices en thé ne soupçonnent pas la palette de couleurs que les amateurs de thé voient en savourant leur boisson préférée. Noir, vert-vert ou vert-bleu (oolong), jaune ou blanc. Ces coloris ne viennent pas d’espèces différentes de théier mais sont dûs aux différents traitements des feuilles. Cela n’impacte pas que la couleur mais également le goût du thé évidemment. Des beaux contenants et des noms poétiques ou humoristiques (le dernier thé testé se prénommait Sushi’s friend) sont aussi des plaisirs liés à la vue.

 
 Thé à la menthe @ Flickr CC laetitia

Entendre le thé …

Le son de l’eau qui bout ou le thé qui s’écoule de la théière nous préparent à la dégustation. Les amateurs de thé connaissent d’ailleurs le temps d’infusion idéal mais également la température de l’eau.

 
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Toucher le thé …

Quand on aime le thé, l’envie d’avoir des ustensiles adaptés arrive. Une belle théière et des tasses dont la taille varie entre les mugs  ou les mini verres à thé, le tout fabriqués dans des belles matières. Qui ne se rappelle pas de la sensation que procure une tasse bien chaude dont on entoure deux mains refroidies par des températures hivernales ?

 
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Sentir le thé …

Peut-être le sens le moins utilisé avec le thé, quoique. En effet, certains thés hyper fruités ou fleuris sentent délicieusement bons !

 
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Goûter le thé …

Amer, fruité, fumé, le thé peut procurer une immense variété de saveurs. Il est aussi intéressant de goûter les différence entre les différentes infusions (cela fonctionne uniquement avec les bons thés – petit truc appris au détour d’une conversation chez un de nos fournisseurs préférés !). Seul ou accompagné d’autres ingrédients comme des épices, du lait ou du sucre, le thé a de multiples visages que nous allons re-découvrir ensemble…

 
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Noémie Lvovsky : « Il faudrait accepter que l’instinct maternel n’existe peut-être pas »

Cinéma

Dans le film d’Alice Douard, un couple de femmes est sur le point de voir naître son enfant. “Des preuves d’amour” part d’une situation médicale. Paris, 2014. Nadia (Monia Chokri) s’apprête à accoucher d’un bébé conçu par procréation médicale assistée (PMA). Sa compagne, Céline (Ella Rumpf) doit se lancer dans des démarches très longues pour adopter cet enfant. Au-delà de l’aspect quasi-documentaire, Alice Douard (césarisée pour son court « L’Attente » en 2024) signe un très beau premier film ce que cela fait d’être parent et la co-maternité, à la croisée de l’intime et du politique. Des doutes, des préjugés, des injonctions dont nous parle Noémie Lvovsky que nous avons rencontrée.

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Casa Due : la relève assurée par Sébastien Maes dans les anciens murs du restaurant Bouchéry

Gastronomie & Oenologie

Quand Damien Bouchery a annoncé la fermeture de son restaurant après 15 ans de créativité culinaire, c’est une véritable institution bruxelloise qui s’est éteinte. Son approche végétale, intuitive et engagée avait fait école. Pourtant, le vide n’aura pas duré : dans les mêmes murs, Casa Due vient d’ouvrir, et avec elle, une nouvelle histoire commence.

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