Art & Culture

En ce mois de mars, nous célébrons la fin d’un morne hiver. L’équinoxe vernal nous donne envie de couleur mais aussi de sensualité. Dans quelque lieux que ce soit, les sybarites s’éveillent et les ventes s’enflamment!

Découvrez les trois ventes à ne pas manquer au mois de mars.

Fidèle à la BRAFA, Whitford Fine Art a fêté en 2023 son demi-siècle d’existence, autant d’années d’expérience mises au service des musées et des collectionneurs.

Tandis que nos modes de vie contemporains nous tiennent à l’écart de la vie sauvage, nombreux sont les artistes qui scrutent l’animal et nous invitent à reconsidérer la distance censée nous séparer de la bête. Bref panorama de cette tendance avec un sculpteur, une dessinatrice et un photographe.

L’art, sous ses innombrables formes, lance un pont entre le palpable et l’abstrait, le connu et le mystérieux. Parmi les artistes qui marchent habilement sur cette ligne délicate se trouve la peintre suisse Annina Laely.

Dans le petit monde des grandes salles de vente, le nom de Dorotheum bénéficie du même prestige que Christie’s ou Sotheby’s, les géants britanniques des enchères. Il s’agit en effet de la plus ancienne salle de vente au monde. Fondée à Vienne par l’empereur Joseph Ier en 1707, elle doit son nom à la société qui en assure la gestion et dont le siège se situe Dorotheergasse. C’est naturellement qu’elle a ouvert sa première représentation étrangère à Bruxelles car, si les ventes internationales ont toujours lieu quatre fois par an à Vienne, notre capitale s’est imposée bien sûr comme une plaque-tournante logique pour rayonner en Europe et aussi grâce à la quantité de collectionneurs que compte notre plat pays. Il était donc évident que Lobby donne la parole à Honorine d’Ursel, directrice de la branche belge de Dorotheum qui, donc, compte beaucoup pour la maison autrichienne.

Constantina Seracin, une artiste suisse autodidacte, utilise des acryliques pour tisser des récits artistiques exsudant la vigueur et la ferveur des femmes, avec un style moderne incarnant ses expressions émotionnelles et visionnaires. Elle aspire à instiller de la joie chez les spectateurs, offrant une expérience visuelle exceptionnelle.

Une galerie d’art, c’est tout sauf un lieu de vie. La blancheur immaculée des murs et l’impersonnalité du décor sont là pour mettre en valeur les œuvres exposées, et seulement elles. Si cette façon de faire à ses vertus, on en oublie souvent que ces œuvres prendront un jour place dans décors plus quotidien. Pas toujours simple de se projeter. Pour y arriver, Inès et Maité van den Eynde ont imaginé l’App’Art : de véritables galeries d’art éphémères meublées comme à la maison.

La Galerie Détour fête son demi-siècle de passion sans la moindre interruption ! Un anniversaire à célébrer et complimenter comme il se doit. Et pour cause : l’institution a largement contribué au développement et au rayonnement artistique de Namur, se hissant au fil des ans, à force de patience et de résistance, au rang de structure incontournable.

Andrea Donner, artiste suisse issue d’une formation en design textile, en nutrition et en apiculture, imprègne ses créations d’une conscience profonde des considérations sociales, environnementales et sociétales.

Les créations artistiques d’Ali Kasap entrelacent habilement le chaos et la structure, reflétant sa passion pour diverses formes artistiques et la géométrie. Ses œuvres, principalement abstraites avec des couleurs vibrantes, contiennent souvent des profondeurs multicouches.

Dans son studio d’Igualada, près de Barcelone, l’artiste Ramon Enrich peint des paysages silencieux, intemporels et nimbés de mystère, dans lesquels se devine l’imminence d’un événement. Ses tableaux à l’aspect parfois naïf, composés à partir d’un répertoire de formes qu’on croirait échappées d’un jeu d’enfants, ne cessent de fasciner les collectionneurs à travers le monde. Rencontre.