Art & Culture

Grâce au mécénat de Dominique et Olivier de Spoelberch, un nouveau piano de concert Steinway D, référence absolue en la matière, rejoint le Maene à cordes parallèles au Grand Manège de Namur, désormais remarquablement armé pour répondre à tous les défis et devenir un incontournable.

Plutôt que de parler de la nouvelle scène locale, Eventail.be a décidé de donner la parole à ceux qui secouent le paysage musical belge. Porté par des lives à l’énergie incroyable, Tukan s’est petit à petit fait un nom au sein de la scène bruxelloise, avant qu’un premier album (Atoll, sorti en 2022) ne vienne confirmer le potentiel de ce quatuor, animé par l’envie d’inventer un fascinant dialogue entre le post-rock, le jazz et les musiques électroniques. Alors que sort une réédition de ce premier long-format, accompagné de quelques remixes et d’un inédit, rencontre avec le bassiste de la bande, Nathan Van Brande.

Plutôt que de parler de la nouvelle scène locale, Eventail.be a décidé de donner la parole à ceux qui secouent le paysage musical belge. Grâce à son mélange subtil de folk, d’electronica et de saudade, Ao Mar inscrit d’office Ão dans cette nouvelle génération de groupes à suivre de près, car précieux, aventureux, soudés (le quatuor tient à s’exprimer d’une même voix) et capables de traduire mille influences puisées chez James Blake ou Lhasa de Sela dans des compositions hautement émotives.

Gilles Ledure, directeur général de Flagey, et son équipe ont concocté pour la rentrée un programme où le familier se mêle à l’inédit. Zoom sur les temps forts que l’on pourra découvrir à partir d’octobre.

À mille lieues de son image galvaudée “paillettes et jet set”, Saint-Tropez recèle quelques trésors d’une délicatesse insoupçonnée. Merveilles à épingler, les ‘Nuits du Château de la Moutte’. Parfaite définition de la volupté.

Plutôt que de parler de la nouvelle scène locale, Eventail.be a décidé de donner la parole à ceux qui secouent le paysage musical belge. Ciao Kennedy, c’est exactement ça : cinq potes d’enfances qui, après avoir tenté d’emprunter les chemins de la pop, ont préféré bifurquer vers des mélodies post-rock qui s’étirent et accueillent de multiples influences, tantôt jazz, tantôt électroniques. Leur dernier EP, the problem is, en témoigne avec éclats.

C’est avec beaucoup de tristesse que la rédaction de L’Eventail a appris la disparition, hier après-midi, du comte Bernard de Launoit, après un combat exemplaire contre la maladie qui aura duré six mois. Président exécutif de la chapelle musicale Reine Elisabeth, c’était une figure importante du paysage culturel et musical belge.

Plutôt que de parler de la nouvelle scène locale, Eventail.be a décidé de donner la parole à ceux qui secouent le paysage musical belge. De son côté, Isolde Lasoen, aperçue chez Daan ou Absynthe Minded, a le mérite de le faire en douceur, dans des albums délicats, tout entiers abandonnés au spleen et à la vulnérabilité. Son dernier album, Oh Dear, en est la plus belle des démonstrations.

Après trois années d’interruption forcée par la covid, le Festival de musique classique s’installe à nouveau à Wolubilis les 10 et 11 mars, avec une programmation ouverte à toutes et tous, dès le plus jeune âge.

Concerts classique, musiques du monde, jazz, danse et théâtre sont à l’honneur au Baixu, une cave à l’ambiance swing et intimiste, ouverte récemment à Tour & Taxis, grâce à deux amoureux de la culture en général et du Brésil en particulier, Martine Renwart et Emmanuel De Ryckel.

Plutôt que de parler de la nouvelle scène locale, Eventail.be a décidé de donner la parole à ceux qui secouent le paysage musical belge. Ça tombe bien : avec son troisième EP, (Got) Eveything To Shine, Junior Bokele fait aujourd’hui figure de valeur sûre au sein d’une nouvelle génération de musiciens équilibrant le jazz avec la soul, la pop, le rap et la rumba congolaise en une poignée de chansons à entendre comme un formidable nuancé d’émotions.

Plutôt que de parler de la nouvelle scène locale, Eventail.be a décidé de donner la parole à ceux qui secouent le paysage musical belge. À ce petit jeu, The Haunted Youth est évidemment un nom à retenir. Pensé par Joachim Liebens, la formation vient de sortir Dawn Of The Freak, un premier album en forme d’ode au post-punk, au romantisme torturé et à l’adolescence éternelle.