L'agenda

Au mois de mars, le dessin est célébré à Paris (et dans toute la France).

Grand protecteur des arts et des sciences, l’empereur Rodolphe II (1552-1612) – dont la célèbre Kunstkammer fut considérée comme l’un des plus beaux cabinets de curiosités d’Europe – développa une passion pour l’étude de la nature. Une passion alimentée par les travaux des savants et des artistes réunis à sa cour, comme l’atteste une intéressante exposition du Louvre.

Alors que le Louvre défraie la chronique, rappelons que le musée offre des salles où les visiteurs ne se bousculent pas, à l’exemple du département des arts décoratifs.

En 2020, l’arrière-petit-neveu de Curzio Malaparte avait édité une table, une console et un banc, identiques à ceux réalisés par l’écrivain italien pour sa maison capriote, icône de l’architecture moderne.

La Galerie CACTUS vous invite à célébrer la femme sous toutes ses facettes dans cette nouvelle exposition tout le mois de mars.

Cette exploration de l’art de Rita Mawuena Benissan (°1995) revisite le parasol royal et le tabouret, symboles de la chefferie des Akan au Ghana.

L’artiste Robert Zhao Renhui met en lumière la résilience de la nature et ses interactions avec la société humaine.

Cette exposition explore l’impact des technologies de pointe, comme l’intelligence artificielle, les moteurs de jeux vidéo et la réalité virtuelle, sur l’art contemporain.

L’exposition explore les questionnements et engagements des jeunes générations face aux défis actuels, notamment la crise climatique et ses impacts sur nos modes de vie, de consommation et de création.

Cette sélection présente la collection du MACBA en explorant de nouvelles narrations et formes d’expression, invitant le public à construire son propre parcours.

Loin du cubisme et de l’art abstrait en germe alors qu’elle décide de s’adonner à la peinture, Suzanne Valadon cultiva un “réalisme brutal”, campant des corps, sans artifice ni voyeurisme, dans des constructions solides marquées par “l’éclat lourd des coloris”.

C’est en 1913 qu’Ossip Zadkine et Amedeo Modigliani, fraîchement débarqués à Paris, se rencontrent.

L’exposition explore la figure de la mère, motif central de l’histoire de l’art, entre présence et absence, héritage et quête personnelle.

La talentueuse artiste aux deux facettes, Anne Sophie Morelle, également connue sous le nom de Stella Solar, ouvrira les portes de son univers les 29 et 30 mars, ainsi que les 4, 5 et 6 avril. Elle exposera ses œuvres dans l’ancienne Bastide de Victor Horta, à La Hulpe, lieu chargé d’histoire où elle réside avec sa famille.

Créée en 1984, Dolce&Gabbana est l’une des plus importantes marques de mode au monde.

Daniel Turner (1983, installé à New York) a consacré les dix dernières années de sa carrière à la récupération et la réappropriation d’infrastructures diverses.

Jusqu’au 28 mars, l’exposition Bodiless, dirigée par le curateur Song Tao en collaboration avec le collectionneur Maxime bureau, présente le travail de cinq artistes chinois du laque : Zhong Sheng, Yao Bangliang, Sun Wenjia, Ou Tingzhu et Liu Lijun.

Depuis plus de quarante ans, Michel Goyon (°1963) développe une œuvre hybride, où expérimentations plastiques et références culturelles, artistiques et scientifiques s’entrelacent dans une quête perpétuelle de sens.

Nan Goldin (°1953) est reconnue pour son exploration de l’expérience humaine. Sa série emblématique, The Ballad of Sexual Dependency, documente la vie dans des lieux comme Provincetown, le Lower East Side new-yorkais, Berlin et Londres depuis les années 1970.

Inspirée par le travail de Jean-Jacques Hauswirth (1809-1871), Irene Karpiczenko (°1952, Johannesbourg, Afrique du Sud) explore l’art du découpage de manière contemporaine et audacieuse.

Associer art et montagne en créant un musée à ciel ouvert, tel est l’objectif de L’Art au sommet.

Immersion dans la richesse et l’extravagante diversité de l’expression plastique de la spiritualité humaine.

Marta Minujín (Buenos Aires, °1943) est l’une des artistes pop et conceptuelles latino-américaines les plus influentes de tous les temps.

Le 24 mars 1995, Richard Ruben faisait trembler les murs de Forest National, devenant le premier humoriste belge à fouler cette scène mythique. Trente ans et dix “Cirque Royal” plus tard, il revient, plus mordant, plus incisif et plus inimitable que jamais dans un spectacle inédit : “Retour à Forest”! Un spectacle électrisant où Richard Ruben, le caméléon bruxellois, embarque son public dans un tourbillon d’accents, de personnages déjantés, de performances vocales impressionnantes, de monologues percutants et d’imitations à pleurer de rire.

Remisées dans les réserves depuis plus de quatre-vingt-cinq ans, les collections d’Asie du musée royal de Mariemont retrouvent enfin la lumière à l’occasion d’une exposition thématique unique.

Sponsorisé par la marque allemande de vêtements Boss, l’événement scénographie la carrière de Naomi Campbell.