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La compagnie de danse belge Peeping Tom, en tournée européenne, fera escale à Bruxelles, la ville où elle a vu le jour. L’originalité de ses créations lui a valu de nombreux prix et des invitations dans des cadres prestigieux, comme, récemment, à Reggio-Emilia au sein de la Collezione Maramotti et au Teatro Valli.

La compagnie de danse belge Peeping Tom, en tournée européenne, fera escale à Bruxelles, la ville où elle a vu le jour. L’originalité de ses créations lui a valu de nombreux prix et des invitations dans des cadres prestigieux, comme, récemment, à Reggio-Emilia au sein de la Collezione Maramotti et au Teatro Valli.

Sous-titré Souvenirs d’un Européen, Le Monde d’hier, paru à New York en 1943, est un livre fondamental pour connaître l’Europe, et singulièrement Vienne, d’avant 1914. Stefan Zweig en a envoyé le tapuscrit à son éditeur la veille de son suicide, au Brésil, le 22 février 1942. Sa lucidité reste aujourd’hui d’une étonnante pertinence pour rappeler que la culture constitue un rempart indispensable contre les nationalismes et nos aveuglements. L’adaptation est signée Itsik Elbaz.

Dans la nuit du 15 au 16 avril 2019, Notre-Dame de Paris est ravagée par un incendie qui détruit sa charpente et provoque la chute de sa flèche. Dans ce spectacle tout public (dès huit ans), Thierry Debroux (également metteur en scène) imagine que les gargouilles ont réussi à s’échapper et plongent le spectateur dans le roman de Victor Hugo, dont cinq acteurs et quatre marionnettes font revivre ses plus grands moments et héros mythiques (Esmeralda, Quasimodo, Frollo…).

Par ceux qui ne connaissent ni Hergé ni son œuvre, Tintin au Congo est régulièrement accusé de racisme, au point que son édition anglaise est précédée d’un avertissement. C’est pourtant cet album que, le soir de Noël, l’un des invités d’Odile et Dany dépose en cadeau au pied du sapin. Ce qui devait être une fête joyeuse et conviviale va déraper en un règlement de compte auquel une nouvelle venue va largement participer. Une pièce mordante d’Albert Maizel mise en scène par Nathalie Uffner.

"J'y vais souvent, car le lieu est sublime. C'est le premier théâtre construit au tout début de l'Art déco, avec des œuvres de Bourdelle et de Maurice Denis, mais aussi parce que la programmation est fabuleuse : j'aime y écouter des récitals de piano, des concerts de musique baroque.

"Il y a quelques années, Philippe Tesson a repris ce petit théâtre et, depuis, il enchaîne les spectacles avec boulimie et un évident plaisir.

C'est le lieu qui m'a permis de faire ma première apparition sur scène de manière professionnelle. Je faisais la première partie du spectacle Alexis. Quel risque ! Car le Varia n'est pas du tout un lieu d'humour.