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Bons voeux bataves

Rédaction Eventail

19 January 2015

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[caption id="attachment_14659" align="alignnone" width=""]La reine Maxima porte un manteau rouge vif signé Edouard Vermeulen[/caption]Contrairement à la cour de Bruxelles, celle de La Haye affiche une belle entente et c'est en compagnie de la princesse Beatrix, de sa soeur, la princesse Margriet, et de l'époux de celle-ci, Mr Pieter van Vollenhoven, que les souverains bataves ont offert une réception de Nouvel An au Palais Royal d'Amsterdam.

Plusieurs centaines de personnes représentant la société néerlandaise avaient été conviées dans le grand hall du somptueux édifice construit au XVIIe siècle. Nul doute que les invités découvriront avec émerveillement la grande mosaïque en marbre du sol figurant deux cartes du monde et l'hémisphère de l'univers céleste. Lors de cette première réception, la reine Maxima avait revêtu un manteau et une robe rouge vif du couturier belge Edouard Vermeulen.

 La reine Maxima et le roi Willem Alexander des Pays-Bas © MatrixPhoto.co.uk

Lors de la deuxième édition, réservée cette fois aux diplomates et aux responsables des organisations internationales, l'épouse du roi Willem-Alexander avait choisi une tenue en taffetas avec un imprimé d'inspiration animale. Comme son époux, Maxima a pu mettre à profit ses talents de polyglotte pour converser avec ces invités très spéciaux issus des quatre continents.

Gala au profit de la Fondation Fournier-Majoie à Bruxelles

Vie mondaine

Le dîner de gala au profit de la Fondation Fournier-Majoie a rassemblé plus de 300 convives à l’Event Lounge pour une soirée flamboyante sur le thème “Allumez le feu”. L’événement a soutenu la mission de la Fondation : financer et accompagner des chercheurs afin que leurs découvertes profitent aux personnes atteintes de cancer. Cette année, les fonds iront à une immunothérapie innovante contre les ostéosarcomes, un cancer osseux rare et agressif touchant les jeunes de douze à vingt ans. © Gabriel Lelièvre

02/10/2025

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Un trésor refait surface

Chroniques royales

On le croyait disparu à jamais, sans doute volé puis retaillé, et voilà que le Florentin, pierre historique entre toutes, est exhumé du coffre d’une obscure banque canadienne. La surprise est au rendez-vous et d’éminents minéralogistes comme des historiens passionnés d’énigmes, se pourlèchent déjà les babines !Seulement connu de certains membres de la famille, le secret a été dévoilé, cent ans plus tard, afin de respecter les dernières volontés de Charles Ier, dernier empereur d’Autriche, décédé tragiquement à Madère le 1er avril 1922, à 34 ans. Les archiducs Siméon, Karl et Lorenz, accompagnés par un expert de la maison Köchert, l’ancien joaillier de la cour des Habsbourg, ont mis au jour, sommairement emballés dans du papier, des broches, des toisons d’or et le fameux diamant de 137 carats.

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