Jean-Claude Frison revient au Théâtre de La Valette

Suis-je aimé pour moi-même ? C’est la réponse à cette question que recherchent les protagonistes de la double intrigue amoureuse dans la plus célèbre des comédies de Marivaux. Mais la question n’avait jamais été posée de cette manière.

Meurtre, inceste, adultère et vengeance hantent les ruines de l’abbaye de Villers-la-Ville. Pour son 37e spectacle estival, c’est Lucrèce Borgia, le fascinant mélodrame de Victor Hugo, que le scénographe et producteur Patrick de Longrée a choisi de représenter dans les ruines de l’abbaye cistercienne. C’est la sixième fois qu’une œuvre de Hugo est portée sur les tréteaux de Villers. Il est vrai que le verbe hugolien résonne en parfaite harmonie avec les majestueux vestiges abbatiaux.

Peut-on dire n’importe quoi, à n’importe qui, n’importe quand et sur n’importe quel sujet ? La pièce de Salomé Lelouch (la fille du cinéaste) montre clairement que toute vérité n’est pas bonne à dire, que la franchise totale confine parfois à la bêtise et que les interlocuteurs de mauvaise foi peuvent être horripilants (et très drôles en l’occurrence).

Une rencontre entre un cardinal et un pape qui veulent tous deux renoncer à leur ministère. De cette entrevue naitra une situation inédite et une mutation majeure de l’Église catholique. Brillante initiative de la Comédie Volter de présenter la création mondiale en langue française de cette excellente pièce écrite en 2017 par le néo-zélandais Anthony McCarten.

Le Musée des Arts décoratifs (MAD) de Paris met à l’honneur cette figure emblématique de la haute couture au tournant du XXe siècle lors d’une première exposition monographique, attrayante et festoyante.

Double anniversaire pour cette fondation qui fête les cinquante ans de son ouverture et les cent ans de l’Art déco. Elle entame aussi une importante période événementielle et une décennie inégalée de travaux de restauration.

Et si une œuvre d’art pouvait vous faire entrer dans le monde de l’horlogerie de luxe ? C’est tout le pari d’Archives du Temps, une plateforme inédite qui mêle art contemporain et montres d’exception dans une démarche à la fois ludique, esthétique et engagée.

À travers une installation monumentale de plus de 5 000 origamis, le designer belge Charles Kaisin donne forme à une initiative artistique et solidaire, témoignant du lien indéfectible entre la Ville de Bruxelles et Kyiv. Ce projet vise à soutenir le Centre Médical de Réhabilitation de la capitale ukrainienne.