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“Au cours du bicentenaire de la National Gallery, nous voulons réaffirmer notre rôle de galerie nationale”, souligne Gabriele Finaldi, directeur.

Comment le sein a-t-il été compris et représenté dans l’art à travers différentes cultures et traditions ?

Sols salins nappés de concrétions ou semés de crevasses et plantes aquatiques, le tout photographié en gros plan avant d’être révélé dans des bains de sel provenant de la mer Morte…

En attirant l’attention sur le fait que le corps physique relève d’une construction sociale, elle-même fruit des représentations, usages, habitudes et fantasmes qui lui sont associés, Sin Wai Kin (Toronto, 1991) cherche à dépasser les approches sexuées et normatives de l’identité.

Talent parmi les plus prometteurs, Yann Freichels (°1996) porte un regard de peintre sur le présent, tout en se servant des manières de peindre de ses prédécesseurs.

Cercles, triangles, carrés ou losanges aux couleurs vives…

Herman Asselberghs (Malines, 1962) a méticuleusement construit une œuvre audiovisuelle internationalement diffusée dont le travail se concentre sur le questionnement des relations entre le son et l’image, le monde et les médias, la poétique et la politique.

L’exposition retrace le parcours atypique de la cinéaste, écrivaine et artiste belge Chantal Akerman (1950-2015), de Bruxelles, sa ville natale, jusqu’aux déserts et aux horizons lointains de ses tout premiers films à ses dernières installations en 2015.

Jean Arp, Pierrette Bloch, André Derain, Jean Dubuffet, Oscar Dominguez, Sam Francis, Henri Michaux, Joan Miró mais aussi William Anastasi, Laura Lamiel ou Christopher Wool: autant d’artistes ayant fait de la tache un motif, un élément plastique à part entière.

Le titre fait référence au poème The Tyger de William Blake dans lequel il fait allusion à la nature paradoxale du tigre, magnifique et terrifiant.

Léon Devos (1897-1974) place son activité créatrice sous le signe d’une forme particulière de bonheur qui consiste à ressentir des impulsions intuitives et à les traduire plastiquement, sans rejet des matériaux traditionnels et sans remise en question du monde à chaque tableau.

Le dialogue entre les œuvres de Tatiana Bohm (France, 1979) et de Manon Bara (Angers, 1985) aborde une certaine fureur à dire la fragilité du vivant, l’animalité intérieure, le derme de la réalité.