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Cette exposition, orchestrée à l’occasion du 100e anniversaire du Manifeste du surréalisme d’André Breton, réunit des œuvres de grands noms du surréalisme (Dalí, Ernst, de Chirico…) ainsi que des artistes contemporains influencés par le mouvement.

Perspectives impossibles, ombres étirées, créatures hybrides, cités idéales, paysages comme pétrifiés…

Un parcours labyrinthique rayonnant autour du manuscrit original du Manifeste fondateur d’André Breton : telle est la physionomie que prendra au Centre Pompidou l’exposition célébrant, après les musées royaux des Beaux-Arts de Belgique, l’anniversaire du mouvement surréaliste.

À l’occasion du centenaire du surréalisme, cette exposition offre une perspective inédite sur l’œuvre d’Alberto Giacometti (1901-1966), en explorant notamment son amitié et ses liens créatifs avec Max Ernst.

Muse, icône de mode, figure mondaine, célèbre mécène, écrivaine et poétesse, la vicomtesse de Noailles fut aussi un peintre accompli.

Pour marquer le centième anniversaire du surréalisme, les Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique sortent le grand jeu !

Les Musées Royaux des Beaux-Arts de Belgique inaugurent IMAGINE!, une exceptionnelle exposition itinérante internationale conçue en collaboration avec le Centre Pompidou de Paris, à l’occasion du 100e anniversaire de la naissance du surréalisme. © Violaine le Hardÿ de Beaulieu

“N’est-ce pas le magma interne du corps qui est placé là, au bout de notre regard, comme un champ profond ?”, écrivit l’écrivain et critique d’art Roland Barthes à propos du Reliquaire réalisé en 1957 par Bernard Réquichot.

Cent ans après la publication du Manifeste du surréalisme, Bozar commémore ce mouvement d’avant-garde qui stimula tant d’artistes sous nos latitudes et ce, durant près de trois générations.

Au moment du salon Paris+, pas question de passer à côté des collectionneurs internationaux présents dans la capitale.

Et si les femmes avaient poussé le surréalisme jusque dans ses retranchements ? Durant l’âge d’or du mouvement, dans les années 1930, mais aussi au-delà de sa dissolution en 1969… C’est la question que pose le musée de Montmartre.

Influencé par le Surréalisme et l’art inuit, Marcel Dzama explore la relation qui existe entre le monde de l’inconscient et celui de la réalité.