Vingt et une toiles à la “palette de diamants et de pierreries” peintes dans les environs (à Monaco, Bordighera, Sasso, Dolceacqua, Roquebrune-Cap-Martin et Antibes) constituent le cœur d’un parcours chronologique mettant en valeur le point de vue du peintre qui, des feuillages frémissants des bords de Seine à la “vision quasi-abstraite” du miroir d’eau des $Nymphéas$, plus qu’un “motif” chercha à peindre “l’instant”.

En couverture : détail de l’œuvre ‘La Barque’, 1887, huile sur toile ,146 x 133 cm © Musée Marmottan Monet, Paris, Bridgeman-Giraudon