• HLCÉ

Noces de perles pour Sophie et Mariano de Windisch-Graetz

News Gotha

Christophe Vachaudez

11 February 2020

© DR

[caption id="attachment_23371" align="alignnone" width=""]Le prince et la princesse Mariano de Windisch-Graetz[/caption]Son mariage à Salzbourg fut l'un des événements mondains les plus courus de l'année 1990. Voici juste trente ans, le 11 février, l'archiduchesse Sophie d'Autriche épousait le prince Mariano de Windisch-Graetz, chef de la branche aînée de cette maison d'origine autrichienne.

Fille de l'archiduc Ferdinand et de la comtesse Hélène de Toerring-Jettenbach, la princesse, cousine avec tout le gotha, puisque sa grand-mère maternelle la princesse Élisabeth de Grèce, n'était autre qu'une sœur des princesses Marina, duchesse de Kent, et Olga, princesse de Yougoslavie.

Le prince et la princesse Mariano de Windisch-Graetz le jour de leur mariage
© DR

Sophie est née et a étudié en France avant de s'installer en Espagne pour poursuivre une carrière internationale dans la mode, comme modèle puis comme journaliste. Elle nouera des liens très étroits avec le couturier Valentino qui lui dessinera d'ailleurs sa robe de mariée. Cousine éloignée de la reine Sophie, elle deviendra très proche des infantes Elena et Cristina mais aussi de l'infant Felipe.

L'archiduchesse Hélène, mère de la princesse, Sophie et Hugo, avec leurs deux enfants larissa et Massimiliano
L'archiduchesse Hélène, mère de la princesse, Sophie et Hugo, avec leurs deux enfants Larissa et Massimiliano © DR

Son frère, le prince Maximilien, s'est lui aussi installé depuis plusieurs années à Madrid. Le prince Mariano qui assume la charge de Gentilhomme de Sa Sainteté le Pape depuis 1987, escorte les personnalités invitées au Vatican où la famille a le privilège d'être enterrée. Il est l'un des principaux actionnaires de la banque de Naples et a investi en Italie, dans l'industrie alimentaire.

Au Vatican où le prince Mariano de Windisch-Graetz exerce une charge importante
Au Vatican où le prince Mariano de Windisch-Graetz exerce une charge importante © DR

Le couple se partage entre leur palais de Rome et leur autre résidence de Sant'Angelo d'Alife, près de Caserte. En dessinant des lignes de sacs à main, Sophie poursuit sa carrière dans les milieux de la mode, croisant les grands couturiers pour lesquels elle a défilé. Sa fille Larissa suit d'ailleurs les pas maternels et envisage de devenir mannequin. Sophie et Mariano ont également eu deux fils : Massimiliano, héritier de la lignée, et Alexis, disparu dans un accident de la route en 2010, à l'âge de 18 ans. Les princes sont régulièrement conviés aux grandes réceptions du gotha comme le mariage du prince des Asturies ou celui du grand-duc héritier Guillaume de Luxembourg. Ils fêteront leurs noces de perles cette semaine, tout en se souvenant avec émotion de leur défunt fils, disparu voici juste dix ans.

À la table de L’Éventail chez Alain Bianchin

Gastronomie & Oenologie

Après avoir fait ses armes dans de grandes maisons comme Le Chalet de la Forêt ou La Villa Lorraine, le chef étoilé belgo-italien Alain Bianchin s’exprime, depuis 2015, dans son propre établissement situé aux portes de Bruxelles. Si vous (re)découvrez sa cuisine en novembre, ne manquez pas son canard sauvage aux épices d’Orient, un plat imaginé spécialement pour L’Éventail en accord avec le thème du mois : l’Égypte. Rencontre avec un chef créatif et généreux.

Dîner au Château d’Argenteuil

Vie mondaine

Le château d’Argenteuil situé à Waterloo, qui abrite aujourd’hui l’École Européenne de Bruxelles-Argenteuil, dont le fondateur et actuel Président est le Prince Félix de Merode accueillait un dîner de gala pour l’Association « Cœur-accord ». ’Cœur-accord’, sous le haut patronage du prince et de la princesse Charles-Louis de Merode (parents du prince Félix), est une asbl qui a pour objectif l’aide au développement des enfants et des adolescents, leur éducation et protection dans les domaines de la vie relationnelle, affective et sexuée. © Violaine le Hardÿ de Beaulieu

12/09/2025

Advertentie

Le Louvre profané

Chroniques royales

Il n’a pas fallu plus de sept minutes aux malfrats pour s’emparer d’un ensemble de bijoux historiques à la valeur inestimable au nez et à la barbe des gardiens et des services de sécurité. Un monte-charge, quelques cônes placés sur la route, et voilà les voleurs déguisés en ouvriers ouvrant à la disqueuse l’une des fenêtres de la galerie d’Apollon donnant sur le quai François Mitterrand.

Alle artikels

Advertentie

Alle artikels