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Dazibao, des bijoux personnalisés

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Rédaction Eventail

30 April 2018

© Photos : Pablo Crutzen

Passionnée de gemmologie depuis sa plus tendre enfance, Camille Coppens a initié un concept unique de création de bijoux où le client devient designer. Rencontre.

Depuis mon plus jeune âge, je suis fascinée par les pierres et plus précisément par les diamants, car mon beau-père André Gumuchdjian, diamantaire à Anvers, m'a initiée à ce merveilleux savoir-faire lors de mes nombreuses visites dans son bureau. Tout a démarré le jour où je lui ai acheté quelques petites pierres afin de réaliser un bijou que j'avais imaginé chez un artisan joaillier. Cette expérience m'a convaincue de lancer ma propre collection de joaillerie, haut de gamme, facile à porter et à des prix abordables.

Je devais absolument me démarquer dans un marché très concurrentiel et trouver un produit original et inédit dans le monde de la joaillerie. L'idée m'est alors venue de proposer à ma clientèle d'intégrer une collection collaborative que j'ai nommé Dazibao. Profitant de mes conseils, le client devient le designer de son bijou, comme je l'avais fait quelques années auparavant .Ensuite, il sera confectionné dans un atelier à Anvers où tout se fait manuellement, du sertissage à la monture. Mais ce qui fait l'originalité de la marque, c'est que le client-designer peut ensuite nous concéder le modèle de son bijou, que celui-ci portera son prénom et intègrera ainsi la collection permanente Dazibao.

Pour plus de lecture sur Camille Coppens et ses bijoux, rendez-vous page 127 dans notre numéro de Mai 2018.

www.dazibao-antwerp.com

Déjeuner avec Diane Hennebert

Vie mondaine

Diane Hennebert, connue pour son action en faveur de la rénovation de l’Atomium et de la Villa Empain, deux joyaux du patrimoine belge, s’attaque à présent à la rénovation du Pavillon chinois, à Laeken, qu’elle a rebaptisé “Palais des routes de la soie”, endormi depuis plus de onze ans. Dans le cadre des Déjeuners/Conférences organisés par L’éventail, au Cercle Royal Gaulois, elle est venue parler de ce défi audacieux. © Violaine le Hardÿ de Beaulieu

20/05/2025

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Le Louvre profané

Chroniques royales

Il n’a pas fallu plus de sept minutes aux malfrats pour s’emparer d’un ensemble de bijoux historiques à la valeur inestimable au nez et à la barbe des gardiens et des services de sécurité. Un monte-charge, quelques cônes placés sur la route, et voilà les voleurs déguisés en ouvriers ouvrant à la disqueuse l’une des fenêtres de la galerie d’Apollon donnant sur le quai François Mitterrand.

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