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Connue pour ses sculptures tactiles, l’artiste afro-brésilienne Sonia Gomes (Minas Gerais/Brésil, 1948) associe objets trouvés, textiles et matériaux naturels pour créer des formes évocatrices qui racontent des histoires de résilience, de transformation et de beauté du quotidien.

Comme on visite les châteaux de la Loire, on s’offre une cure artistique en terre de Provence. La région propose une belle diversité de fondations, fortement impliquées dans la création pour nourrir l’âme.

La galerie bruxelloise LMNO a inauguré son nouvel espace dans les deux pavillons historiques du Bois de la Cambre avec l’exposition À l’aube du crépuscule d’Adrien Lucca.

Tatiana Trouvé (née en 1968 à Cosenza) fait l’objet d’un vaste projet d’exposition réunissant sculptures, dessins monumentaux et installations.

Angela Lyn (Windsor, 1955) puise dans sa double culture orientale et occidentale pour développer une langue artistique singulière et engageante.

Cette exposition explore l’effervescence artistique de l’entre-deux-guerres à travers une sélection d’œuvres issues des grandes expositions de 1925 (Paris) et de 1935 (Bruxelles).

Artiste britanno-croate, Marianna Simnett présente à Berlin une nouvelle exposition solo qui explore les frontières entre comportements individuels et collectifs, à travers des vidéos, peintures et sculptures inspirées des mythes et rituels.

Cette exposition réunit des œuvres qui explorent les tensions entre artisanat et production industrielle, entre gestes humains et mécanismes automatisés.

L’artiste Monira Al Qadiri (°1983) explore dans cette exposition le rôle ambivalent du pétrole, source de richesse et de crise.

C’est en 1962 que Jean Dubuffet (19°1-1985) découvre un matériau qui lui fera abandonner l’espace du tableau pour la sculpture, puis l’architecture : le polystyrène expansé sculpté au fil chaud.

Découvrez les trois ventes à ne pas manquer au cours des mois de mai et juin.

Avec ses œuvres invariablement enveloppées dans un monochrome gris évoquant un univers recouvert de cendres, Hans Op de Beeck ne recherche pas une beauté sublime ou opulente mais s’intéresse à une poésie ancrée dans la vie quotidienne.