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Huyze Elimonica

Bonnes AdressesCôte belgeHôtelsOstende

Rédaction Eventail

11 June 2018

© Claude Smekens

Parfaitement nichée au cœur d'Ostende, cette maison particulière Belle Époque date de la fin du XIXe siècle. Elle a été entièrement rénovée en 2010 par son propriétaire, Filip Deschacht, qui en a fait un bed & breakfast aux allures de table d'hôtes, sur cinq niveaux.

La chambre et les deux grandes suites ont toutes du caractère, avec un admirable dosage entre meubles d'époque, moulures anciennes et modernité. Tous les objets qui s'y trouvent ont été achetés chez les antiquaires de la région et mettent en valeur un confort irréprochable : salle de bains privée, peignoirs et articles de toilette signés Bvlgari. Dans une ville réputée pour sa gastronomie, la table ne pouvait qu'être excellente. Filip Deschacht, ancien chef au P'tit Vatelli à Anvers, se plie en quatre pour satisfaire les papilles : petit-déjeuner royal ou repas gastronomique le midi ou le soir (sur demande).Par beau temps, les portes s'ouvrent sur un très agréable jardin arboré.

39 Euphrosina Beernaertstraat, Ostende
Tél. 0479 67 07 09
www.elimonica.be

Joyaux dynastiques

Chroniques royales

L’exposition organisée conjointement par le V&A et la collection Al Thani à l’hôtel de la Marine nous permet de clore l’année royale sur une note scintillante. Une myriade de diadèmes, des pierres non montées issues des collections du musée de minéralogie de Paris, de précieux bijoux de la reine Victoria, de l’impératrice Catherine II, de la reine Elisabeth de Belgique, de l’impératrice Eugénie, épouse de Napoléon III, ou encore des duchesses de Portland ou de Manchester, autant de prétextes pour aborder sans réserve une symbolique riche et complexe.

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« L’agent secret », un anti-héros au Brésil

Cinéma

Dans son dernier film, “L’agent secret”, Kleber Mendonça Filho suit un universitaire veuf sous la dictature brésilienne. Le réalisateur tisse un florilège d’intrigues mystérieuses où l’humour noir côtoie la violence urbaine. Un film, long, ample, sinueux, teinté de surprises hallucinantes, drolatiques, choquantes. Kleber Mendonça Filho traque son anti-héros, mêle les moments d’un passé douloureux toujours vivace et ceux d’un présent jamais serein, toujours (un peu) sur le qui-vive. Rencontre avec le cinéaste brésilien au Festival de Cannes*.

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