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Les apparences et l'amour

Cinéma

[caption id="attachment_24653" align="alignnone" width=""][/caption]Eve, bibliothécaire (Karin Viard) et Henri, chef d'orchestre réputé (Benjamin Bioley), vivent ensemble depuis quinze ans et ont un fils. Pour le couple bourgeois français expatrié à Vienne, la vie coule sans histoires. Jusqu'au jour où Eve se rend soudain compte que son mari voit une autre femme. Dans le désespoir, elle décide de se venger. A sa manière...Dans le même temps, Eve se console avec un jeune homme rencontré au hasard d'une nuit de détresse. Les apparences sont trompeuses. Il convient quand même de les sauver... Marc Fitoussi ("Selfie", "Maman a tort", "Pauline Détective"...) signe une comédie noire, entre satire sociale et thriller, librement adaptée d'un roman suédois. Une réussite. Tourné presque entièrement à Bruxelles, "Les Apparences" réunit aussi des comédiens belges dont Laurence Bibot, en grande bourgeoise un brin médisante.

© Giancarlo Gorassini/BestImage/Bestimage/Photo News

Christophe Lambert : « Tintin m'a aidé à sortir de mon quotidien »

Cinéma

Adrien (Vincent Lacoste) est un Peter Pan moderne. À vingt-sept ans, il se comporte toujours comme un petit garçon immature et irresponsable. Enfant, il avait connu un petit succès au cinéma. Aujourd'hui, Adrien n'a ni gloire ni argent. Il se voit interdit de carte bancaire et exproprié de son appartement. Il doit retourner vivre chez ses parents. Sa mère (Emmanuelle Devos) est psychothérapeute. Son père, écrivain en panne d'inspiration, alcoolique, vit dans la chambre de bonne. Adrien découvre le fiasco conjugal de ses parents. Contre toute attente, on lui propose d'incarner le général de Gaulle, jeune. Sans trop y croire, Adrien se lance dans cette nouvelle aventure... Antoine de Bary livre une comédie douce-amère sur l'adulescence, thème qu'il avait déjà abordé dans un court-métrage. Il signe un premier film tendre, réaliste et facétieux. On retrouve un Christophe Lambert inédit, en père à la dérive. Nous l'avons rencontré en pleine forme, au FIFF.

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