"En Regard", dialogue entre les collections du Musée d’Ixelles et de la Province de Namur

De La Panne à Knokke-Heist, dix-huit sculptures monumentales composent un parcours artistique reliant neuf stations balnéaires de la mer du Nord. Must see !

La foire d’art tribal, asiatique et oriental Civilisations revient au Sablon du 5 au 9 juin. Ce sera l’occasion de découvrir de nouveaux exposants, de nouveaux objets et de nouvelles œuvres, mais toujours dans la décontraction propre à ce rendez-vous. Nous avons rencontré son président Arie Vos, également propriétaire de la galerie Kitsune Japanese Art.

Diana Barrault, une artiste nantaise, développe très tôt une sensibilité pour la peinture, un goût pour la mesure, l’équilibre dans la construction. Issue d’une lignée familiale d’architectes et de peintres, elle puise son inspiration dans les nuances de la vie, capturant les atmosphères subtiles et les émotions fugaces.

Le temps d’une exposition, le SMAK ou Musée d’Art actuel de la Ville de Gand va explorer l’univers électro-acoustique de l’artiste libanais Tarek Atoui et ce, à travers un travail qui s’inscrit autour de la performance et de la composition sonore.

Wei Shujun explore un polar incarné dans la Chine des années 90. Le jeune réalisateur chinois (33 ans) signe un polar incarné, stylé, très construit. “Only the river flows” était présenté dans la section Un certain regard, à Cannes, l’an dernier. Le film sort enfin en salles. Il est la bonne surprise de l’été. Rencontre avec le cinéaste Wei Shujun sur la Croisette

La vibe électro de cet été est aussi une histoire de famille. En effet, Cook Strummer, le musicien belge exilé à Berlin, se réapproprie et réinvente “My Opponent”, un morceau du groupe bruxellois The Sunday Charmers, dont ses deux frères, Florian et Étienne Donnet, sont les initiateurs. Dansant et léger, groovy, limite funk et avec une grosse énergie : c’est le son de l’été !

Nos trois découvertes littéraires 2024 pour cet été. À savourer sous le soleil, évidemment !

Le 30 mai 1431, quand Jeanne est conduite au bûcher sur la place du Vieux-Marché de Rouen pour y être brûlée vive, elle porte une mitre sur laquelle sont écrits les motifs de son exécution : hérétique, schismatique, apostate et idolâtre. Elle a 19 ans.