Le dessous des oeuvres de Weegee

C’est devenu une tradition, à l’arrivée du printemps, les salons du Cercle Royal Gaulois se remplissent d’oiseaux aux ailes déployés, de lièvres bondissants, de lions menaçants, de chevaux galopants et de toute une suite d’animaux plus vrais que nature. Une faune particulièrement festive cette année puisque Animal Art Bruxelles célébrait son 10e anniversaire.

Si le marché de l’art connaît des vicissitudes depuis quelques mois, il reste des valeurs sûres auxquelles se raccrocher. Que ce soit dans les arts décoratifs, les bijoux, le vin ou les beaux-arts, certains artistes ou artisans traversent les modes sans la moindre égratignure !

On assiste à une saison haute en couleurs pour les ventes aux enchères, avec un certain succès pour les arts du début XXe. L’Art déco séduit toujours, que ce soit en art verrier ou en sculpture, alors que les grands noms de la peinture répondent à nos envies d’évasion et de contemplation.

Depuis sa création en 2015, Animal Art Bruxelles est devenu un rendez-vous incontournable pour les amateurs et collectionneurs d’art animalier contemporain. À l’occasion de son 10e anniversaire, le prestigieux salon se tiendra du 21 au 23 mars 2025 au Cercle Royal Gaulois, Artistique et Littéraire, en plein cœur de Bruxelles. Une édition qui promet de marquer les esprits par sa sélection exceptionnelle et ses événements exclusifs. Pour donner à cette édition l’éclat qu’elle mérite, le salon cherche actuellement son partenaire titre !

Dans “Les choses qu’on dit, les choses qu’on fait” d’Emmanuel Mouret (2021), une délicieuse fantaisie chorale sur l’amour, Emilie Dequenne incarne Louise qui découvre que son mari (Vincent Macaigne) en aime une autre. Sa prestation, exceptionnelle, bouleversante, a été récompensée par le César de la Meilleure actrice dans un second rôle, en 2021. La ressortie du film dans les salles de cinéma, dès ce mercredi 19 mars, est l’occasion de retrouver sur grand écran l’immense talent de l’actrice belge multirécompensée qui nous a quittés hier soir à l’âge de 43 ans.

Découvrez les trois ventes à ne pas manquer au cours des mois de janvier et février.

Dans son film “My Sunshine”, le jeune cinéaste japonais Hiroshi Okuyama de 28 ans seulement évoque avec délicatesse les ambivalences de l’adolescence, avec pour décor une patinoire immaculée et les paysages enneigés de l’île de Hokkaido. Une pure merveille poétique comme un flocon de neige. “My Sunshine”, présenté dans la section “Un certain regard”, aurait mérité une récompense. Rencontre avec Hiroshi Okuyama sur la Croisette.

Drames haletants, thrillers politiques, satire hollywoodienne ou encore compétition musicale… Les séries de mars offrent un large éventail d’émotions et de thématiques.