Le marché aux puces

“Grégoire Mercier a commencé par travailler pendant cinq ans auprès de son père Thierry, grand spécialiste du XIXe siècle et, plus particulièrement, des Nabis.

“Le lieu mérite déjà la visite pour la manufacture des Gobelins et le bâtiment d’Auguste Perret.

“Je suis plutôt casanière de nature, mais s’il y a un endroit où j’aime retourner dont je ne me lasse pas, c’est le musée Magritte.

“J’ai grandi entourée d’œuvres d’art, mes parents collectionnaient, et j’ai toujours eu une attirance irrésistible pour les livres d’art.

La mode a parfois du bon… Après avoir enduré des cadres minimalistes et froids, où seul comptait ce qu’il y avait dans l’assiette – ce qui était risqué –, les restaurants redécouvrent le charme, les lumières tamisées, la patine du passé.

“Situé sur le quai Voltaire, ce magasin de couleurs est ma madeleine de Proust. Je venais y acheter des carnets de croquis en toile de lin, du papier calque, des blocs pour esquisses quand j’étais étudiant en architecture, à l’école des Beaux-Arts à côté.

Faut-il encore présenter Yannick Alléno ? Le chef est à la tête de dix-sept établissements, réunissant quinze étoiles… Sa nouvelle adresse ? L’Izakaya Dassai où il propose l’excellence en matière de gastronomie japonaise.

“J’ai shooté près d’une cinquantaine de riads, mais j’en ai découvert un il n’y a pas si longtemps…