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Hot Spots Food du Haut de la Ville

Bonnes AdressesBruxellesFoodfood & cieHot SpotsToison d'or

Rédaction Eventail

23 September 2020

© DR

Pleine de vitalité, la zone constituée de la Toison d’Or, du boulevard de Waterloo et de la Porte de Namur, compte près de 1246 cellules commerciales.

Parmi celles-ci, l’agence bruxelloise Hub Brussels répertorie 241 cafés, bars et restaurants, et quelques 367 boutiques de vêtements et autres cosmétiques. Voici quelques pépites !

BUDDY BUDDY
Bijou design à deux pas du magasin Apple. On y boit un café et des cold brews délicieux.
10 rue des Drapiers, Bruxelles 
www.buddybuddy.bio


COSPAIA
Pour siroter un exquis cocktail bien mérité après une session shopping intensive.
1 rue Crépel, Bruxelles
www.fr.cospaia.be


JAT CAFÉ
Halte idéale pour grignoter après avoir écumé les boutiques de la rue de Namur.
28 rue de Namur, Bruxelles
www.jat.cool


TICH CAFÉ
Cantine vegane pour manger une salade ou une assiette de légumes sur le pouce.
25 rue de Namur, Bruxelles
www.facebook.com/tichbrussels


MAISON LOUISE
Écrin feutré et chic où déguster une cuisine belge aux subtils accents français.
40 avenue de la Toison d'Or, Bruxelles
www.sofitel-brussels-le-louise.com


THE RESTAURANT
Nouvelle adresse tendance et haut de gamme pour déjeuner ou dîner avec style.
38 avenue de la Toison d'Or, Bruxelles
www.thehotel-brussels.be

Felix Marcilhac

Félix Marcilhac Junior, en digne fils de son père

Design & High-tech

Figure iconique du marché parisien, expert des arts décoratifs du XXe siècle, et plus particulièrement de l’Art déco, Félix Marcilhac avait ouvert sa galerie rue Bonaparte en 1969… Autant dire qu’il était un pionnier dans le quartier de Saint-Germain-des-Prés et que l’adresse est aujourd’hui devenue mythique.

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Contre les troubles “dys” : bouger, parler et réfléchir !

Société

Les troubles “dys” – dyslexie, dysorthographie, dyscalculie, etc. – semblent plus répandus que jamais, au point de susciter interrogations et inquiétudes dans de nombreuses familles. Certains y voient une meilleure détection, d’autres pointent un environnement peu adapté ou des méthodes pédagogiques dépassées. Certains spécialistes estiment détenir des solutions. Bérénice André nous livre son approche, parmi de nombreuses pistes possibles.

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