Rubis

Dans le monde de la mode et de la haute joaillerie, en Allemagne comme en Italie, à New York ou aux Baléares, un événement n’est pleinement réussi qu’en présence de la princesse Lilly de Sayn. Issue de la plus haute aristocratie, cette coqueluche des médias teutons méritait bien que l’on s’attarde sur son parcours plutôt atypique.

Le 20 août, L’Éventail et Zoute Paper ont réuni 200 invités pour l’événement “When Brussels Meets Knokke” dans la grange privée de Joris Ide. Animée par Marlène de Wouters et François Didisheim, la rencontre a rassemblé figures politiques et économiques de premier plan, avant de se clôturer par une réception parmi la prestigieuse collection automobile de l’hôte. © Marc Thome

Par-delà le fracas de la grande histoire, l’ombre de Marie-Antoinette continue de hanter Versailles, et bien au-delà. Car si la dernière reine de l’Ancien Régime est célèbre pour ses extravagances et sa fin tragique, elle fut aussi – on l’oublie trop souvent – une pionnière de la décoration d’intérieur et de l’art de vivre à la française. Passez faire un tour par Versailles, vous y verrez de surprenants restes de modernité… Ce numéro de L’Éventail consacré au design ne pouvait se passer d’elle.

Depuis 2013, la princesse Astrid conduit avec succès les missions économiques à travers le monde, une occasion unique de jeter des ponts entre les entreprises belges et étrangères. Et la sœur du roi Philippe ne prend pas son rôle à la légère, préparant minutieusement toutes les étapes et toutes les rencontres de ces marathons, usant sans retenue de son entregent et de sa spontanéité. Lors des nombreux échanges organisés en Californie, l’une des régions les plus actives au monde sur le plan économique, la princesse a exercé à merveille son mandat d’ambassadrice.