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Une lueur d'espoir royale

Rédaction Eventail

20 October 2014

Le roi Philippe, la reine Mathilde et la princesse Elisabeth ont participé aux commémorations de Ploegsteert, liées au centenaire de la Première Guerre mondiale.

Cette commune située entre Ypres et Armentières, à la frontière française, abrite l'impressionnant mémorial britannique élevé en 1931 à la mémoire des 11 447 soldats du Commonwealth morts au combat dans la région. Afin de retracer la ligne du front qui courait jusqu'à Nieuport, près de 10 000 volontaires ont oeuvré en cette belle nuit au ciel dégagé pour que des flambeaux éclairent les 84 km séparant la plage de la petite cité balnéaire au Monument of the Missing. Entourés de 2000 personnes, les souverains furent les témoins du premier discours trilingue de leur fille aînée.

La princesse Elisabeth a prononcé un époustouflant discours trilingue © Droits réservés

En effet, la princesse s'est adressée au public avec aisance dans les trois langues nationales, prononçant un discours qu'elle avait écrit elle-même. Après les applaudissements, retentirent les trompettes des guides pour un Last Post, un moment poignant répété tous les premiers vendredis du mois à 19h. L'édifice en forme de rotonde dans lequel ont été gravé le nom de tous les soldats qui n'ont pu recevoir de sépulture particulière tant les combats furent meurtriers, est flanqué de lions couchés, gardiens bienveillants de ce haut lieu de la mémoire.

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On le croyait disparu à jamais, sans doute volé puis retaillé, et voilà que le Florentin, pierre historique entre toutes, est exhumé du coffre d’une obscure banque canadienne. La surprise est au rendez-vous et d’éminents minéralogistes comme des historiens passionnés d’énigmes, se pourlèchent déjà les babines !Seulement connu de certains membres de la famille, le secret a été dévoilé, cent ans plus tard, afin de respecter les dernières volontés de Charles Ier, dernier empereur d’Autriche, décédé tragiquement à Madère le 1er avril 1922, à 34 ans. Les archiducs Siméon, Karl et Lorenz, accompagnés par un expert de la maison Köchert, l’ancien joaillier de la cour des Habsbourg, ont mis au jour, sommairement emballés dans du papier, des broches, des toisons d’or et le fameux diamant de 137 carats.

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