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Lespagnard x Galler, deux Liégeois subliment le chocolat

Rédaction Eventail

01 February 2016

© JG-JPL

[caption id="attachment_15784" align="alignnone" width=""]Jean-Paul Lespagnard et Jean Galler, deux Liégeois ambassadeurs de la Belgique [/caption]Le 1er juin, les chocolats Galler fêteront leurs quarante années d'existence. Un anniversaire ponctué de collaborations avec le créateur Jean-Paul Lespagnard. Que nous réservent le Fournisseur breveté de la Cour de Belgique (depuis 1994) et le créateur belge de renommée internationale ? Des œufs en chocolat et en métal – véritable écrin de collection. Rencontre au carré en atelier.

L'Eventail – Jean-Paul Lespagnard, pour vous, qu'est-ce que le chocolat ?

Jean-Paul Lespagnard – C'est comme avec la mode, un vrai vecteur de communication belge...

– Et vous en consommez ?
– Beaucoup... (rires). C'est un élément de base dans l'alimentation. Je viens de la région de Liège et le chocolat est directement lié à Jean. C'est clair que j'achetais les bâtons de manon au supermarché. Les gros carrés de chocolat m'évoquent l'enfance, même si le dire semble un peu "bateau".

– Et vous, Jean Galler, que vous évoque la mode ?
Jean Galler – Au travers de ce que l'on porte, on voit la personnalité. "L'habit ne fait pas le moine" dit-on, c'est faux. Cela montre qui l'on est. Donc, chaque soir, je choisis patiemment mes vêtements : des chaussettes à la pochette.

– Pourquoi cette collaboration ?
J. Galler – D'abord, les quarante ans. Je voulais faire quelque chose de fort pour cet anniversaire. Et puis, c'est une évidence pour plusieurs raisons. Nous sommes tous les deux liégeois, nous avons les mêmes valeurs et tout nous invitait à nous assembler : la créativité, l'amour de la perfection, l'humour... Ce sont des choses qui nous réunissent.
J.-P. Lespagnard – J'ai été curieux de rencontrer Jean ! Il y a beaucoup de marques qui me contactent pour faire des collaborations mais je me réserve pour des collaborations intéressantes ; je n'en fais pas simplement pour faire briller un nom ou apposer mon logo sur une boîte. Cela ne m'intéresse pas. Un autre aspect qui m'a incité à accepter, c'est le fait qu'il s'agit d'un chocolat de luxe dans la grande distribution. C'est quelque chose de luxueux mais sans prétention et c'est très proche de ce que je fais...

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Librement inspiré des oeufs roumains, la création de JP Lespagnard se fait résolument ludique © JG-JPL

– Expliquez-nous la genèse de cet œuf, résultat de votre première collaboration.
J.-P. Lespagnard – Pour Pâques, il a fallu créer un packaging pour la grande distribution : un œuf avec des petits œufs à l'intérieur. L'idée était de pouvoir conserver l'objet, c'était assez important. Je me suis inspirée des œufs traditionnels roumains pour le côté graphique : ils sont très colorés. Il y a trois "top", trois "milieu" et trois "bottom" montés de manière tout à fait aléatoire. On a donc la sensation d'acheter un œuf exclusif. Si on en achète plusieurs, on peut les mélanger (il en existe vingt-sept modèles). Cela devient un jeu, un objet ludique.

– Pâques constitue donc le premier temps fort de l'année. Et ensuite ?
J.-P. Lespagnard – Pour Pâques, il y a aussi les vitrines des magasins Galler que j'ai pensées. Il y a également des magnets (en 3D) que l'on peut utiliser pour "customiser" l'œuf et qui seront vendus exclusivement dans les boutiques Galler. On ne dira rien de plus mais sachez que c'est un projet global et que notre collaboration ne s'arrête pas là !

En vente dès le 1er février, www.galler.com
 

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