Les prix de l'été : 10 lunch à la Villa in the sky

À l’occasion de la Saint-Patrick, le restaurant étoilé Maison Marit propose un menu inédit mettant en avant le bœuf et l’agneau irlandais. Une initiative portée par Bord Bia, l’agence gouvernementale de promotion des produits agroalimentaires irlandais, qui vise à valoriser la qualité et la traçabilité de ces viandes d’exception.

Dans un marché saturé jusqu’à l’excès de concepts culinaires plus fous (et surtout plus éphémères) les uns que les autres, il n’est pas toujours facile d’exister pour les établissements qui mettent un point d’honneur à faire briller les grands classiques de notre gastronomie. C’est le cas de Maison Marit. Pour ne rien gâcher, le chef Dimitri Marit, du haut de son étoile Michelin, se montre d’une générosité qui l’éloigne décidément des clichés sur la frugalité des portions dans la restauration gastronomique.

Dans la constellation gastronomique belge, l’étoile de l’Impératif d’Éole brille avec constance et raffinement.

Le caviar primeur incarne l’expression la plus pure de l’esturgeon. Produit en début de saison, il se distingue par sa fraîcheur et son absence d’affinage prolongé. Plus vif, plus délicat, il offre une alternative raffinée aux amateurs de caviar en quête de nouvelles expériences gustatives. Ce caviar, issu des premiers esturgeons Baeri de l’année, est réputé pour son grain tendre et son arôme subtil qui rappellent les saveurs originelles de l’esturgeon.

À la frontière entre Bourgogne et Champagne, le Château de Courban conjugue charme hôtelier, mémoire familiale et gastronomie étoilée. Son restaurant vient de regagner une étoile Michelin sous l’impulsion du jeune chef Maxime Lesobre, dont la maîtrise des sauces et l’approche créative des produits du terroir marquent une nouvelle étape dans l’histoire du domaine.

Trois décennies après sa fondation, Caspian Tradition s’est imposée comme une référence incontournable du caviar en Belgique. Héritière d’un savoir-faire familial iranien et forte d’une exigence constante, la maison incarne aujourd’hui l’une des plus belles réussites gastronomiques du pays.

Construite en 1932 par l’architecte Paul Aernaut entre Art déco et style moderniste, cette maison a conservé son authenticité rehaussée par une rénovation exemplaire. Un espace où l’on vit et où l’on travaille, mais certainement pas un musée !

Superbe parcours pour cet enfant du Borinage qui s’est passionné pour le bon et le bien manger dès l’enfance, dans la cuisine de sa grand-mère, à Quaregnon, non loin de Mons. Passé par l’École hôtelière de Tournai, Eric Fernez s’est formé durant son apprentissage auprès de chefs importants de sa région.