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125 ans de bon repos

DécoLiterieMaison

Rédaction

03 October 2023

Lorsque Guillaume et Louise Dekock ouvrent en 1898 Au Bon Repos, leur magasin de literie, rue Blaes, personne n’aurait imaginé que leurs arrière-arrière-petits-fils seraient toujours aux commandes de l’entreprise 125 ans plus tard. Malgré deux guerres mondiales et d’innombrables crises économiques, l’enseigne des Marolles a réussi à traverser ces moments difficiles grâce au fidèle soutien de sa clientèle et à sa réinvention permanente. Retour sur cette véritable saga familiale en quelques dates.

1898

  • Guillaume et Louise Dekock ouvrent leur premier magasin Place de la Chapelle. Il s’appellera « Au Grand Mouton Blanc ». Référence à la laine que l’on trouvera bientôt dans les étalages et qui servira bientôt à carder les matelas.

1933

  • Gabriel, l’un des deux fils de Guillaume et Louise, acquiert l’immeuble situé 17 rue Blaes pour la somme de 350.000 F et y installe Clément Vanderhoeven, le frère de son épouse. A charge pour lui de faire commerce sous l’enseigne du Bon Repos, mais de ne proposer aucune marchandise vendue par la maison mère.

1940

  • L’Europe est à nouveau en guerre. Le 1er septembre 1940, Gabriel apprend que son merveilleux camion Chevrolet est réquisitionné. En 44, le camion réquisitionné en 40 n’étant jamais revenu, Gabriel dispose d’un « ordre de priorité » pour acquérir un moyen de transport.

1948

  • Au décès de François Dekock, Gabriel acquiert les immeubles de son frère. Gabriel souhaite conserver les deux enseignes. « Le Grand Mouton Blanc » et « Au Bon Repos » coexistent pacifiquement et sous la même autorité.

1957

  • Le 20 septembre, Lucien Cooremans, Bourgmestre de Bruxelles inaugure les premiers agrandissements.

1964

  • L’inauguration de nos nouvelles installations. Le rayon des tapis, des cadeaux, des papiers-peints, de l’électro-ménager, et grande nouveauté, le rayon meubles ! “Le Bon Repos” rivalise maintenant avec la célèbre Maison Vanderborght.

1967

  • Le logo, une nouvelle image ! En 1967 apparaît pour la première fois le logo. Il s’agit d’un bloc compact, illustrant de manière très imaginative, ce que sera le bon repos dans quelques années.

1971

  • Alors que de nombreux concurrents désertent la ville et s’installent en banlieue, le long d’axes de communication, Roger continue de croire que quitter la Place de la Chapelle serait une erreur. Il lance donc le dernier projet d’agrandissement du magasin pour arriver au résultat que l’on connait actuellement.

1998

  • Au Bon Repos fête ses 100 ans.

2019

  • Après 47 ans de bons et loyaux services, les deux frères Dekock passent la main à leurs fils et neveu. Gregory, Steve et Bertrand entreprennent des travaux de rajeunissement du magasin, à l’intérieur comme à l’extérieur.

Simon Gronowski : « On ne peut pas oublier le passé car il peut revenir »

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Dans son nouveau livre, le rescapé belge de la Shoah s’adresse surtout aux jeunes. Depuis plus de vingt ans, Simon Gronowski témoigne partout, en Belgique ou à l’étranger. A 94 ans, cet optimiste opiniâtre, cet infatigable messager de la mémoire reprend la plume. « Plaidoyer pour la paix » s’adressant à tous, surtout aux jeunes, transmet l’espoir, la réconciliation, l’amitié. Simon Gronowski nous a reçus chez lui. Sa parole est forte, claire. Son message pacifique fait du bien.

Gala au profit de la Fondation Fournier-Majoie à Bruxelles

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Le dîner de gala au profit de la Fondation Fournier-Majoie a rassemblé plus de 300 convives à l’Event Lounge pour une soirée flamboyante sur le thème “Allumez le feu”. L’événement a soutenu la mission de la Fondation : financer et accompagner des chercheurs afin que leurs découvertes profitent aux personnes atteintes de cancer. Cette année, les fonds iront à une immunothérapie innovante contre les ostéosarcomes, un cancer osseux rare et agressif touchant les jeunes de douze à vingt ans. © Gabriel Lelièvre

02/10/2025

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