Nathalie Van der Massen et ses jeux de transparence

Cette villa des années 1970 et son jardin ont fait l’objet d’une rénovation de fond en comble. Le souhait était de gagner en luminosité et d’estomper au maximum la frontière entre intérieur et extérieur pour, comme une invitation à la détente et au ressourcement…

Sur les courts de tennis qu’elle fréquente assidûment, Mathilde Wittock a trouvé l’inspiration pour créer sa première collection de mobilier. Un smash de haute volée, doté d’une technique manuelle et artisanale.

Bijou moderniste posé sur le cordon littoral knokkois, la villa Saverys a retrouvé toute sa superbe grâce à une restauration et une modernisation soignées menées avec le plus grand soin par les petits-enfants d’Albert Saverys, l’un des commanditaires d’origine.

Pleins feux sur ce fauteuil iconique, pensé pour l’intérieur comme pour l’exterieur. Une pièce majeure qui traverse les époques avec élégance.

Le Speyside est le cœur battant de l’industrie du whisky écossais. On y trouve la plus forte densité de distilleries au monde et certains des noms les plus mythiques de l’histoire du whisky y sont installés depuis des centaines d’années. Paradoxalement, cette profusion ne rime pas forcément avec uniformisation et les grandes maisons cultivent jalousement leur singularité aromatique. Escapade dans les Highlands pour visiter trois distilleries du Speyside au style bien différent : Benriach, Glendronach et Glenglassaugh.

Figure emblématique du design d’intérieur belge, Bea Mombaers est également indissociable de la station balnéaire de Knokke. Depuis plus de trois décennies, l’artiste et designer cultive un style inimitable, mêlant mobilier vintage, objets chinés et influences du monde entier. Son approche instinctive et son goût pour l’imperfection parfaite (le wabi sabi) ont fait d’elle une référence incontournable dans le monde de la décoration.

Pour la première fois de son histoire, Chimay conditionne ses bières trappistes en canette. Cette décision inédite conjugue excellence brassicole, rigueur monastique et réalisme industriel. Mais cette ouverture au changement survient alors que l’équilibre du modèle trappiste vacille. La crise spirituelle de notre ère pourrait bien avoir pour conséquence collatérale une crise… brassicole

Sarah de Saint-Hubert insuffle une énergie singulière à la mode belge avec sa marque SDSH. Diplômée de la prestigieuse Académie des Beaux-arts d’Anvers, elle fait ses armes à Paris au sein de la maison Givenchy, chez Alberta Ferretti ou encore chez A.F.Vandevorst. “En 2018, je me suis dit qu’il était temps de me lancer à mon propre compte.”