Chanelle a pensé sa griffe, Piment, pour toutes les femmes, quels que soient leurs courbes ou leur âge. “Nous avons toutes le droit d’être sensuelles et sexys”, confie-t-elle. Tantôt avec un décolleté plongeant, un dos échancré ou des ouvertures bien positionnées, tantôt grâce à des tissus à se damner.

Design et production sont belges, quant aux tissus, ce sont des chutes récupérées auprès de maisons de haute couture, telles que Saint Laurent ou Lanvin. À contre-courant de la fast fashion, Chanelle propose donc des pièces limitées en fonction des tissus qu’elle trouve. Chacune de ses campagnes présente avec brio ses valeurs : repousser les croyances limitantes, incarner une féminité sensuelle, combattre les stéréotypes… Son site inter-net ouvre quatre fois par an en “pré-commande”, à des prix plus avantageux, mais reste ouvert tout le reste de l’année “sur demande” à prix classiques. Côté nouveautés, une collaboration est prévue avec la marque française Septem, cet été. En fin d’année, un pop-up sera inauguré à Paris. À suivre !