Château de Deulin, un marché artisanal et de la cuisine du placard #gourmandise

C’est un joyau du patrimoine remarquablement rénové. Le prestigieux hôtel de Luxembourg-Ville rouvre ses portes sous l’enseigne Marriott Hotels et réhabilite son superbe antre Art déco. Avec, en prime, sa flamboyante brasserie, adresse iconique qui prône le fait maison et le terroir, pause gourmande idéale lors d’un city trip au Grand-Duché.

Après avoir fait ses armes dans de grandes maisons comme Le Chalet de la Forêt ou La Villa Lorraine, le chef étoilé belgo-italien Alain Bianchin s’exprime, depuis 2015, dans son propre établissement situé aux portes de Bruxelles. Si vous (re)découvrez sa cuisine en novembre, ne manquez pas son canard sauvage aux épices d’Orient, un plat imaginé spécialement pour L’Éventail en accord avec le thème du mois : l’Égypte. Rencontre avec un chef créatif et généreux.

Quand Damien Bouchery a annoncé la fermeture de son restaurant après 15 ans de créativité culinaire, c’est une véritable institution bruxelloise qui s’est éteinte. Son approche végétale, intuitive et engagée avait fait école. Pourtant, le vide n’aura pas duré : dans les mêmes murs, Casa Due vient d’ouvrir, et avec elle, une nouvelle histoire commence.

Ces quelques nouvelles tablées raviront toutes les envies. Il y en a pour tous les goûts ! On passe à table ?

Depuis septembre 2025, Gand accueille le troisième hôtel de la marque JAM, installé dans l’historique caserne Léopold. Sous la direction artistique de Lionel Jadot, ce projet de reconversion marie patrimoine militaire et design circulaire dans un quartier culturel en pleine renaissance. Plafonds vertigineux, matériaux récupérés et rooftop surplombant la Boekentoren, JAM Gand s’impose comme une nouvelle porte d’entrée vers une ville où art contemporain et architecture moderne dialoguent avec l’héritage médiéval.

Au cœur du Passage du Nord, Emmanuel Muraille a posé ses ciseaux et son fil. Artiste peintre, photographe, aujourd’hui couturier, il défend avec Arachné Brussels l’artisanat et la slow couture. Portrait d’un créateur pluriel qui refuse la cadence industrielle.

Figure iconique du marché parisien, expert des arts décoratifs du XXe siècle, et plus particulièrement de l’Art déco, Félix Marcilhac avait ouvert sa galerie rue Bonaparte en 1969… Autant dire qu’il était un pionnier dans le quartier de Saint-Germain-des-Prés et que l’adresse est aujourd’hui devenue mythique.

C’est une adresse qu’on aimerait garder pour soi, une retraite pour initiés, esthètes contemplatifs, amoureux de l’Egypte éternelle. La villa Zeina est un décor de film, en face de Louxor et à deux pas de la Vallée des Rois.