Personne ne choisit d'être un réfugié

Marie Levan, fondatrice et CEO des applications Unfold Astro et AstroLearn, vient de remporter le concours de pitch 2024 organisé par ELLE Belgique et High Her dans la catégorie Women Entrepreneur in Tech. Ce prix vient récompenser une vision unique à l’intersection des mathématiques, de la science des données et de l’astrologie, portée par une femme audacieuse qui redonne au timing ses lettres de noblesse.

Et si régénérer la biodiversité devenait un levier stratégique pour les entreprises ?

À Bruxelles, Élodie Mouton fait partie de ces fleuristes des temps modernes présentant un bel univers floral et végétal, plutôt coloré.

Il y a huit ans et avec le soutien de l’homme d’affaires passionné d’aéronautique Olivier de Spoelberch, Benjamin de Broqueville s’est lancé dans une aventure entrepreneuriale singulière. Sourse conjugue IA et surveillance aérienne.

Dans un marché du digital saturé entre plateformes no-code et agences haut de gamme, Eazyclick s’impose comme une alternative stratégique. Fondée par Antoine Lemmens et portée par l’expertise de Caracal, cette agence réinvente la création de sites web avec une approche hybride, alliant excellence et accessibilité.

Inondations meurtrières, incendies en plein hiver, augmentation de 1,5 °C de la température terrestre moyenne… Malgré un contexte environnemental alarmant, le monde regorge d’initiatives porteuses d’espoir. Des projets innovants et concrets fleurissent, démontrant qu’un avenir durable reste possible.

Chaque année, les Lobby Awards mettent en lumière des figures inspirantes dont l’impact transcende leur domaine. Cette édition met à l’honneur deux lauréats d’exception : le MIMA Museum et Fabien Pinckaers, deux trajectoires singulières animées par une même énergie créative et visionnaire. D’un côté, un musée qui a redéfini les codes de l’art urbain à Bruxelles, de l’autre, un entrepreneur qui a hissé sa startup au rang de licorne internationale. Deux parcours, un même souffle d’audace.

On l’appelait Leonardo Guilielmi ou Léonard de Pise. Mais à Pise ou ailleurs, cet homme était connu sous le nom de Leonardo Fibonacci, philosophe et mathématicien. D’ailleurs, on lui doit peut-être d’avoir révolutionné le commerce, puisque c’est lui, le savant qui a contribué, sans les avoir inventés, à l’usage des chiffres arabes (et à la numérotation décimale). Au début du XIIIe siècle, cette nouveauté était ésotérique. Au reste, elle mettra quelques siècles à s’imposer et à écarter la numérotation romaine, devenue trop lourde.