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À l’occasion du bicentenaire du déchiffrement des hiéroglyphes, l‘exposition porte l’accent sur le travail méticuleux qui a mené à déchiffrer ces caractères.

À l’occasion de l’inauguration de son tout nouvel espace aux étangs d’Ixelles, Esther Verhaeghe donne carte blanche à l’artiste Daniel Enkaoua (Meaux, 1962). Le peintre joue sa partition sur deux tableaux, présentant sa production dans les deux implantations.

À l’occasion de la publication de sa monographie aux Éditions Snoeck et MMBooks, Jérôme Boutterin présente un bel ensemble chez Marc Minjauw.

De ses premières œuvres intimistes à ses nus monumentaux, peints dans une texture épaisse, Lucian Freud surprend. L’expo couvre l’ensemble de sa carrière, 70 années de pratique et de réflexion.

Son nom ne passe pas inaperçu, mais il y a longtemps que Marie Hugo a accepté de composer avec l’illustre ancêtre. Elle a même séjourné dans la maison de Guernesey et lui a consacré un livre.

Inspirée du roman de Joyce Carol Oates, Les Chutes, évoque l’attraction funeste exercée par les chutes du Niagara sur certaines personnes sensibles à l’appel du vide et des eaux tourmentées (mal nommé hydracropsychisme).

Rendez-vous incontournable de la scène artistique internationale, la foire londonienne, qui réunit plus de 280 galeries, développe deux grands axes.

Le critique Gustave Geffroy a rédigé maints articles élogieux sur l’œuvre de Cézanne et rendu immortelle cette citation du peintre: “Avec une pomme, je veux étonner Paris !”.

Subtle Energy prolonge la fascination d’Amy Hilton (Angleterre, 1986) pour les idéologies ésotériques et la croyance selon laquelle la vie humaine subsiste simultanément dans deux dimensions parallèles : le “corps physique” et le “corps subtil” psychologique, émotionnel, spirituel, conscient et immatériel.

C’est une vente rêvée et une revanche pour Sotheby’s dans la bataille qui l’oppose à Christie’s. On se souvient du succès que celle-ci connut avec la dispersion de la collection d’Hubert de Givenchy.

Méticuleusement découpées au scalpel, les grandes toiles peintes effrangées de Georgia Russell ne sont pas tout à fait des toiles : se superposant ou s’entremêlant, les lanières de papier qui y composent de mouvantes partitions colorées leur donnent une profondeur brisant la planéité du tableau.

Tacita Dean (Canterbury, 1965) développe depuis le début des années 1990 une œuvre singulière qui se déploie à travers des médiums aussi variés que le film, la photographie et le son, le dessin, la gravure et le collage.