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Partagés entre leur Afrique natale et leur Europe d’adoption, une vingtaine d’artistes interrogent le concept d’identité et l’héritage colonial qui les a façonnés. Leurs œuvres nous invitent à réfléchir à une Europe “Oxalá”, pleine d’espoir mais aussi de doute et d’incertitude. Inch Allah !

De la perception (de la nature, des éléments et phénomènes extérieurs) à la restitution, de l’émoi des sens et de l’âme aux sensations visuelles, il y a un monde…

En 1869, Eva Gonzalès entre dans l’atelier d’Édouard Manet. À l’instar de Berthe Morisot, elle est l’élève et le modèle du maître. Elle expose pour la première fois au salon de 1870 et reçoit un accueil favorable de la critique.

Les derniers travaux de Marianne Behaeghel repoussent les limites de la photographie. LSD est une série de clichés non manipulés qui célèbre la poésie de la vie quotidienne.

Peintures monumentées, Paysage du mental, Attractions terrestres… Après dix-sept expositions monographiques, la galerie Jeanne Bucher Jaeger présente une sélection d’œuvres majeures de Jean Dubuffet des années 1950 à 1985.

En expérimentant avec les textures et les matières qu’elle se plaît à infuser, tordre, juxtaposer, coudre ou encore creuser, Myriam Mihindou (Libreville/Gabon, °1964) mène une recherche sur le soin, le rituel et la mémoire du corps.

Artiste ultime du mouvement CoBrA, Pierre Alechinsky (°1927) présente, chez Jean Marchetti, une trentaine d’œuvres inédites de différentes périodes et techniques.

Un focus sur l’autre École de Paris, celle qui se développa après-guerre, nous est proposé au musée de l’Histoire de l’immigration.

Véritable ode à la femme, l’exposition se concentre sur quatre artistes ayant exercé une influence en Allemagne au début des années 1900.

Derrière une tête en plâtre scarifiée d’Alberto Giacometti, l’immense photo en noir et blanc d’un visage marqué d’une cicatrice.

“Les métamorphoses des images, leur capacité à rendre mon regard élastique, voilà ce qui me fascine.” Apparition/disparition, fragmentation, dissolution, dédoublement, renversement…

Humeur malade au coucher du soleil ; Désespoir, Mélancolie, Autoportrait inquiet, Baiser dévorateur, Vagues amoureuses, Vampire… L’œuvre du peintre norvégien est “un poème de vie, d’amour et de mort”. Mettant en exergue cette juste analyse, l’exposition du musée d’Orsay donne à voir la substantifique moelle de l’œuvre du maître expressionniste à travers une centaine de peintures, de dessins et d’estampes traversées par “le soleil noir de la mélancolie”.