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Médailles, émaux, meubles en bois sculpté, estampes, enluminures et peintures (signées du grand Clouet) ou dessins (de Léonard de Vinci) : à travers 160 œuvres le musée d’Écouen montre comment le portrait équestre s’est fixé comme genre durant la Renaissance.

On savait qu’elle avait arpenté l’Inde en tous sens, l’appareil photo à la main, immortalisant architecture de palais et vie quotidienne, mais on ignorait qu’Anne Garde avait aussi le goût des plages de l’Atlantique, et, plus étonnant encore, celui des sites industriels abandonnés qu’elle rend irréels et poétiques, avec des fumigènes ou des pigments de couleur.

“C’est une maison de maroquinerie très ancienne que mon beau-frère, Augustin de Buffévent, a rachetée en 2010.

“C’est sans doute le fleuriste le plus discret de Paris ! Sur son site, seulement un formulaire à remplir, mais une fois qu’on a décroché son numéro…

Voici une sélection d’adresses en France et en Suisse pour se concocter des séjours mémorables. Tout schuss sur des sites d’exception à l’ambiance chaleureuse et confortable qui valorise autant l’intérieur que les paysages alentour !

“Fondé en 1680, c’est le plus ancien restaurant de Paris mais justement, avec les années, il s’était un peu assoupi.

“Autre adresse historique, ce bistrot semble avoir traversé le temps. Son décor n’a pas bougé : banquettes en moleskine, tables en bois patiné, murs couverts de céramiques et de tableaux…

Huit musées parisiens unissent leurs forces pour célébrer une artiste de son vivant et mettre en lumière sa relation au patrimoine.

Pour commémorer la naissance de Camille Claudel (1864-1943), le musée de Nogent-sur-Seine met en lumière son œuvre emblématique, Sakountala.

La première fois qu’on a entendu parler d’elle, c’était en décembre 2020, lors de la vente des bijoux de Marie-Hélène de Rothschild chez Pierre Bergé & Associés. Louise y organisait la dispersion de la collection de la seconde épouse de son grand-père, le baron Guy.

À travers plus de 300 œuvres exposées au Louvre, la figure du fou, tour à tour grotesque, tragique et subversive, est explorée dans sa riche évolution historique. De ses premières apparitions dans les enluminures médiévales au renouveau romantique du XIXe siècle, cette incarnation des désordres du monde interroge les relations complexes entre raison, folie et société.

Foisonnantes dans l’univers visuel du XIIIe au XVIe siècle, les figures du fou réapparaissent avec le romantisme dans le paysage artistique au XIXe siècle. À travers plus de 300 œuvres, le Louvre interroge cette omniprésence dans l’art occidental d’une figure aussi drolatique que subversive.