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Après le bleu, le vert : la Galerie de la Présidence joue avec nos humeurs au gré des saisons.

Un nouveau lieu de résidence, de travail et d’exposition centré sur la pratique artistique ouvre à Bruxelles, sur le site de La Cambre, pour accueillir des artistes émergents ou indépendants africains et européens.

Ceux qui ont connu Pierre Cardin se souviennent que dans son ombre se tenait une Japonaise souriante et mystérieuse, dont on ne savait pas trop la fonction, mais qui semblait très proche du couturier.

Aussi fascinante et fantasque que ses palais et cathédrales, le mobilier d’Antoni Gaudí donne à voir l’extraordinaire créativité de l’architecte plasticien catalan ayant conduit l’Art nouveau aux plus folles extravagances et métamorphosé Barcelone.

À l’occasion du centenaire de la naissance du poète et peintre belge Christian Dotremont, les musées royaux des Beaux-Arts et les Archives & Musée de la Littérature lui consacrent une exposition exceptionnelle. Plus d’une centaine d’œuvres sur papier mettent ainsi en lumière sa saisissante création graphique, oscillant entre écriture et peinture.

Depuis 2004, Sigalit Landau plonge divers objets inanimés dans les eaux de la mer Morte. La salinité les cristallise.

Deux peintres finlandais de la modernité sont mis à l’honneur à Paris : Albert Edelfelt (1854-1905) au petit Palais et Akseli Gallen-Kallela (1865-1931) au musée Jacquemart-André. Paysages sauvages baignés d’une lumière presqu’irréelle, mais aussi scènes de genre et portraits… entre mythe et réalité, la magie opère.

En 2022, le musée Jacquemart-André met à l’honneur l’œuvre du peintre finlandais Akseli Gallen-Kallela (1865-1931). A travers près de soixante-dix œuvres issues de collections publiques et privées, comptant notamment des prêts exceptionnels du Musée Gallen-Kallela d’Espoo, l’exposition investit un aspect dominant de son œuvre, à savoir le thème de la nature et du paysage finlandais.

Après les rétrospectives consacrées aux suédois Carl Larsson, Anders Zorn et à l’Âge d’or de la peinture danoise, le Petit Palais poursuit son exploration des artistes nordiques.

Quel écrin pouvait mieux convenir à une exposition consacrée à Giovanni Boldini que le Petit Palais ? Cent cinquante tableaux y sont présentés à partir du 29 mars et c’est le Tout-Paris de la Belle Époque qui revit dans un tourbillon.

Comment ne pas être sensible à un artiste qui déclare : “La poésie est la seule réalité possible, tout le reste est une illusion” ? Anselm Kiefer est l’un des plus grands artistes contemporains et Paris le célèbre magnifiquement.

“Tordre la réalité sans jamais perdre l’impression de réalisme” : telle est la ligne de l’onirisme du jeune photographe suédois ; un surréalisme plus proche du fantastique que la science-fiction.