• HLCÉ

La principauté de Liechtenstein en liesse

Maison de LiechtensteinNews Gotha

Christophe Vachaudez

01 September 2025

Ce week-end, la petite ville de Vaduz était en liesse pour le mariage de la princesse Marie-Caroline de Liechtenstein et de Leopoldo Maduro Vollmer. Âgée de 28 ans, elle est la première des quinze petits-enfants du prince souverain Hans-Adam II à convoler.

La fille unique du prince héritier Alois et de la princesse Sophie de Bavière évolue dans le domaine de la mode, à Londres, tandis que son époux, d’origine vénézuélienne, travaille dans la finance comme gestionnaire en investissements. Conduite à l’autel de la cathédrale Saint-Florian par son père, sous le regard attendri de ses trois frères, Johann Wenzel, Nikolaus et Wenzel, la Princesse avait opté pour une robe de style romantique et avait choisi d’arborer le grand diadème d’aiguilles en diamants familial. Ce bijou historique issu des ateliers de la Maison Koechert, joaillier de la famille impériale à Vienne, avait été acquis à l’intention de l’archiduchesse Marie-Thérèse d’Autriche, née princesse de Bragance, dont la fille, la princesse Élisabeth, s’unit au prince Alois de Liechtenstein. Il fut ensuite porté par la princesse Gina, par la princesse Marie et par la princesse Sophie, respectivement grand-mère et mère de la mariée.

© Fürstenhaus/Iconoclash Photography/Teresa Mareni et Daniel Bachler

© Fürstenhaus/Roland Korner

Des habitants en costume traditionnel accueillaient les nombreux invités parmi lesquels les témoins des conjoints, à savoir le prince Wenceslas de Nassau, la duchesse Pauline de Wurtemberg, cousine de la mariée, Constantin du Boisbaudry, la comtesse Giorgiana d’Arco-Zinneberg, nièce du prince Lorenz, Tarek Abdel Ghaffer Plaza, le prince Sébastien de Luxembourg, fils cadet des grands-ducs, la comtesse Livia von Wilczek, Jose Manuel Artiles et Fiona Feichtinger.

© Fürstenhaus/Iconoclash Photography/Teresa Mareni et Daniel Bachler

© Fürstenhaus/Iconoclash Photography/Teresa Mareni et Daniel Bachler

De nombreux cousins avaient fait le déplacement et, dans la nef, on pouvait reconnaître le prince Hans-Adam II, les parents et les trois frères de la mariée, toujours célibataires, le prince Nikolaus de Liechtenstein, grand-oncle de Marie-Caroline, et son épouse la princesse Margareta de Luxembourg, venus avec leurs trois enfants le prince Josef-Emmanuel, les princesses Anunciata et Marie-Astrid dont la fille Althea Worthington était l’une des demoiselles d’honneur, la princesse Tatiana de Liechtenstein, tante de la mariée, son mari Philipp von Lattorf et leurs enfants, la princess Marie de Liechtenstein, veuve du prince Constantin, née comtesse Kälnoky de Köröspatak, et ses enfants, le prince Philipp de Liechtenstein, grand-oncle de la mariée, et la princesse, née Isabelle de l’Arbre de Malander, la princess Maria-Pia de Liechtenstein, la princesse Nora de Liechtensteincomtesse de Marino et grande-tante de la mariée, avec sa fille Doña Isabel Sartorius, le prince et la princesse Alexandre de Liechtenstein, le prince Wenceslas de Liechtenstein, le prince et la princesse Rudolf de Liechtenstein, le prince Max, oncle de Marie-Caroline, et la princesse Angela de Liechtenstein avec leur fils, le prince et la princesse Stefan de Liechtenstein, le prince et la princesse Michael de Liechtenstein, le duc Albrecht de Bavière et son compagnon, le duc Max-Emmanuel de Bavière et son épouse la duchesse Élisabeth, grands-parents de la mariée, venus en compagnie de leurs quatre filles, les princesses Marie-Caroline, Élisabeth, Hélène et Anna, les princes de Quadt, le duc Philip de Wurtemberg avec sa sœur la duchesse Mathildeprincesse de Waldburg-Zeil, son fils le duc Carl-Thedor et sa fille la duchesse Sophiecomtesse Maximilien d’Andigné, la duchesse de Medinaceli et son époux, l’archiduc Alexandre d’Autriche, l’archiduc Simeon d’Autriche et l’archiduchesse née princesse Maria-Paloma de Bourbon-Siciles, les ducs de Noto, les princes Karl de Auersperg-Breunner, la comtesse Marie-Beatrice d’Arco von Zinneberg, sœur de l’archiduc Lorenz, accompagnée de sa nièce la princesse Louisa-Maria de Belgique, les princes de Waldburg-Wolfsegg, le prince Henri et la princesse Gabriela de Bourbon-Parme, le prince Amaury de Bourbon-Parme ou encore le prince Paul Clemens de Saxe.

© Fürstenhaus/Iconoclash Photography/Teresa Mareni et Daniel Bachler

Après l’office et les séances traditionnelles de photos, une grande réception fut offerte par le prince souverain dans le château forteresse de Vaduz dont la silhouette médiévale domine toujours la principauté, dernier vestige de l’Allemagne médiatisée.

Photo de couverture : © Fürstenhaus/Iconoclash Photography/Teresa Mareni et Daniel Bachler

Dans la Cour des Grands : Demain, je serai Grand-Duc

Chroniques royales

Le soleil est écrasant ce matin. Nous sommes samedi, il n’est que 8 heures et le mercure accroché au mur de la Tour Sarrasine, notre maison de famille indique déjà 23 degrés. J’ai choisi de me rendre au marché de la Favière. Ici à Bormes-les-Mimosas, c’est une institution. J’ai envie de goûter une olive noire. Sentir un citron et respirer le parfum du romarin frais. J’ai envie de solitude. De normalité. Je m’appelle Guillaume et dans deux mois, je dirigerai mon pays.

Wim Ricourt

Arts & Culture

Artiste belge reconnu pour ses œuvres poétiques inspirées du quotidien, Wim Ricourt (Zelzate, 1963) est un peintre dont les œuvres, d’abord à l’huile sur toile, explorent des sujets aussi naturels que des paysages, des vaches ou encore des bouquets luxuriants.

Belgique, Knokke-le-Zoute

Du 08/08/2025 au 31/08/2025

Publicité

Dans la Cour des Grands : Louis XIV, il est mort le soleil

Chroniques royales

Que l’on se rassure tout de suite : non, je n’ai pas tué l’astre de nos jours. Non, je ne vais pas vous annoncer un été tout entier à l’ombre ! Il ne s’agit pas non plus d’un billet sur Nicoletta qui avait si bien “tué” le soleil en 1968, dans ce tube resté légendaire. Je vous parle du Roi Soleil. Louis XIV, mort il y a 310 ans et qui ne manquait pas d’aplomb pour en faire le symbole de sa propre personne.

Tous les articles

Publicité

Déjeuner avec Amélie de Bourbon Parme à Bruxelles

Vie mondaine

Après le succès de L’Ambition, l’historienne Amélie de Bourbon Parme, descendante directe des Farnese, est revenue au Cercle Gaulois présenter L’ Ascension, le deuxième tome de sa trilogie Les Trafiquants d’éternité. Cette conférence, qui nous a plongés dans les arcanes du pouvoir d’Alessandro Farnese, futur pape Paul  III, l’illustre ancêtre d’Amélie, était organisée dans le cadre des déjeuners de L’Éventail. © Violaine Le Hardÿ de Beaulieu

25/03/2025

Tous les articles