Alexandre Lowie, clin d’œil fifties

Construite en 1932 par l’architecte Paul Aernaut entre Art déco et style moderniste, cette maison a conservé son authenticité rehaussée par une rénovation exemplaire. Un espace où l’on vit et où l’on travaille, mais certainement pas un musée !

Pleins feux sur cette table iconique signée de l’architecte et designer d’origine finnoise Eero Saarinen. À l’évidence, cette pièce majeure a su traverser les époques avec élégance.

La deuxième édition parisienne de Design Miami a réuni, dans l’ancien hôtel particulier qu’habitait Karl Lagerfeld, la crème des marchands spécialisés dans les arts décoratifs du XXe siècle et de nouveaux venus plus tournés vers la création contemporaine.

Amoureux des décors qui racontent une histoire, Oscar Lucien Ono est aussi à l’aise pour faire revivre au Tropical Hotel Saint-Barth l’atmosphère des Caraïbes, dans les années 1950, que de créer une ambiance seventies dans une finca d’Ibiza ou encore d’imaginer un hommage au groupe Memphis afin de transformer des piliers disgracieux en totems façon Ettore Sottsass.

À Anvers, on se passe tellement le mot sous le manteau, que tout le monde sait ce qui se cache derrière la – très – discrète porte de cette adresse du sud de la ville. La jolie maison de maître aux influences art déco accueille le restaurant gastronomique du chef Gino Lemmens et de son épouse Katia Kulakova : Les Années Folles. Si la cuisine qu’on y sert s’inspire avec brio des grands classiques de la cuisine bourgeoise franco-belge, ce que l’on goûte est parfaitement de notre époque !

Lapins, œufs, pralinés et créations inattendues, difficile de célébrer Pâques sans douceur… Des pièces artistiques aux douceurs revisitées, il y en a pour tous les goûts avec même en fin d’article une recette facile et irrésistible pour briller à table le jour J !

Dans un marché saturé jusqu’à l’excès de concepts culinaires plus fous (et surtout plus éphémères) les uns que les autres, il n’est pas toujours facile d’exister pour les établissements qui mettent un point d’honneur à faire briller les grands classiques de notre gastronomie. C’est le cas de Maison Marit. Pour ne rien gâcher, le chef Dimitri Marit, du haut de son étoile Michelin, se montre d’une générosité qui l’éloigne décidément des clichés sur la frugalité des portions dans la restauration gastronomique.

La créatrice belge Roseline d’Oreye célèbre l’élégance balnéaire de Knokke dans un carré de soie inspiré et poétique.