Raymonde : Eco, loco & circulo

À l’âge de treize ans, elle savait déjà qu’elle voulait être architecte. Formée à la faculté d’architecture de l’ULB La Cambre Horta, Julie Ruquois a ouvert son bureau voici plus de quinze ans. Architecte de formation, elle a toujours considéré l’architecture d’intérieur comme une continuité de l’architecture.

En 2018, Lawrence et Constance Slaughter redonnaient vie au plus ancien domaine viticole du Luberon. Aujourd’hui, le château de Mille produit un vin tout à fait honorable, mais il offre aussi un art de vivre où nature et culture se marient harmonieusement.

Amoureux des décors qui racontent une histoire, Oscar Lucien Ono est aussi à l’aise pour faire revivre au Tropical Hotel Saint-Barth l’atmosphère des Caraïbes, dans les années 1950, que de créer une ambiance seventies dans une finca d’Ibiza ou encore d’imaginer un hommage au groupe Memphis afin de transformer des piliers disgracieux en totems façon Ettore Sottsass.

Nichée en intérieur d’îlot, au cœur d’une bulle de quiétude végétale qui valorise et intègre en douceur ses lignes assumées, la demeure-atelier de Sophie Cauvin illustre parfaitement le travail maîtrisé de Marc Corbiau, savant théorème de parois orbes et de fulgurantes échappées lumineuses.

Ces quelques nouvelles tablées raviront toutes les envies. Il y en a pour tous les goûts ! On passe à table ?

Le mercredi 19 novembre prochain, la Cité des Voyageurs de Bruxelles accueillera une soirée exceptionnelle dédiée au Groenland, terre de contrastes, de silence et de fragilité. Au cœur de cette immersion : une exposition photographique saisissante et une conférence inédite sur les travaux de la fondation bruxelloise Imaqa, qui œuvre depuis plusieurs années à la croisée de la recherche scientifique, de la culture et de la préservation environnementale.

Sous les mains expertes de Nicolas et Julie d’Haese, la gastronomie se fait émotion, exigence et élégance. À Bois-de-Lessines, ce couple passionné cultive une cuisine sincère et hautement artisanale, où chaque création raconte une histoire : celle du goût, du partage et de la perfection sans fin.

La pureté des formes parfaitement équilibrées saisit tout d’abord. Puis, en s’approchant, on ne peut réprimer l’envie de les toucher. Sur les surfaces, on découvre des traces, des effets d’usure et de patine donnant une dimension esthétique supplémentaire aux volumes, accentuant la volupté des courbes, rehaussant l’élégance des lignes droites.