5 tendances à suivre cet automne 2019

La créatrice belge Roseline d’Oreye a vu ses pièces portées par Son Altesse Royale la Princesse Astrid lors d’une conférence à Genève. Une reconnaissance du savoir-faire textile belge sur la scène internationale.

Depuis sept décennies, Polomé sculpte l’or et les pierres comme d’autres modèlent le béton ou dessinent des volumes. De Charleroi à Waterloo, et désormais à Knokke, la Maison trace une ligne sensible où matière, transparence et émotion dialoguent. Sur l’Albertplein, elle dévoile un lieu inédit : une parenthèse inspirée, pensée comme une expérience à part entière.

La créatrice belge Roseline d’Oreye célèbre l’élégance balnéaire de Knokke dans un carré de soie inspiré et poétique.

Les maisons Holemans et Manalys façonnent des bijoux uniques. L’une depuis 1922 et l’autre depuis 2009, avec le même désir de qualité et une passion semblable pour les savoir-faire traditionnels. Parce qu’elles ont tant à partager, la maison centenaire Holemans et la joaillerie Manalys fusionneront à l’automne. Mieux qu’une fusion, un rapprochement naturel entre ces deux facettes de la créativité belge. L’objectif : mettre en scène et en évidence leur filiation historique sous une seule bannière.

Au cœur du Passage du Nord, Emmanuel Muraille a posé ses ciseaux et son fil. Artiste peintre, photographe, aujourd’hui couturier, il défend avec Arachné Brussels l’artisanat et la slow couture. Portrait d’un créateur pluriel qui refuse la cadence industrielle.

Mathieu Jacobs a eu une idée folle : produire de A à Z le tout premier thé belge. Cette aventure agricole inédite, saupoudrée d’un nuage de passion et d’un trait de solidarité, prend racine en ce moment même. Premières gorgées promises courant 2026 !

Il n’y a que les historiens pour nous rappeler que la Belgique a démarré en 1830. En réalité, l’histoire de notre terre si fertile a commencé bien avant. Enfant précoce de l’Europe, façonné par les influences qui, depuis des siècles, se croisent et se heurtent sur ce petit territoire, la Belgique est restée pour toujours un carrefour géographique, culturel et politique. Et c’est de ce mélange que naît sa singularité.

Nichée en intérieur d’îlot, au cœur d’une bulle de quiétude végétale qui valorise et intègre en douceur ses lignes assumées, la demeure-atelier de Sophie Cauvin illustre parfaitement le travail maîtrisé de Marc Corbiau, savant théorème de parois orbes et de fulgurantes échappées lumineuses.