W-Project, la nouvelle donation collaborative

Longtemps perçu comme une curiosité, le coworking s’impose aujourd’hui comme un levier structurant de transformation du monde du travail. En Belgique, près de 500 espaces partagés réinventent les usages professionnels. Flexibles, humains, durables, ces lieux attirent freelances, start-ups et grandes entreprises à la recherche d’un environnement de travail agile, stimulant et en phase avec les attentes contemporaines.

Avec Natura et Bister, Arthus de Bousies réinvente deux icônes de la cuisine belge en conjuguant héritage artisanal et innovation durable. Récit d’une success story à la belge.

Depuis Bruxelles, la start-up MoveUP affine les contours d’une médecine plus personnalisée. À la croisée du numérique et du soin, elle développe une plateforme qui capte les données du quotidien pour en faire des leviers thérapeutiques.

Créatrice et modiste, Olivia Cogels perpétue la tradition du chapeau de mariage, modernisant cet accessoire incontournable des petites et grandes occasions.

Cinq start-up valorisées à plus d’un milliard de dollars, des dizaines de scale-up en croissance rapide, et un écosystème structuré autour de la recherche et de l’excellence. La Belgique affirme désormais son statut de hub technologique européen, en dépit de l’ampleur des défis à relever.

HLCÉ (High Level Communication & L’Éventail) est un groupe de communication bruxellois qui officie dans le domaine du High Scale Media. Ceci, grâce à ses marques de niches fortes, locales et nationales, que sont : L’Éventail (Art de Vivre), Gentleman & Ladies (l’Homme et la Femme-Passions), Play Golf (Golf et Evasion), Play Tennis & Padel (Tennis, Padel et Bien-être), Lobby (Cercles d’Influence), Zoute Paper (Knokke-Le Zoute et la Côte), The Address Book (bonnes adresses de proximité).

À quelques jours du Forum de Lobby consacré au thème “Make Investments Great Again”, Jean-Louis Baudoin, co-auteur de Shapership, a livré une réflexion sur l’importance de sortir des cadres établis pour repenser la valeur en entreprise et en investissement.

Derrière les dons spectaculaires des grandes fortunes mondiales se joue un paradoxe. La philanthropie sauve des vies et finance des programmes essentiels, mais elle concentre aussi un pouvoir inédit entre les mains de quelques individus. Alors, le philanthrocapitalisme, piège fiscal ou aubaine sociale ?