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Artiste anonyme mais mondialement connu, Invader s’est inscrit comme l’un des acteurs les plus étonnants et influents de l’art contemporain en ayant donné corps au pixel informatique, avec des carreaux de céramique qu’il cimente sur les murs des villes du monde entier.

Maruani Mercier a le plaisir de présenter la première exposition personnelle du jeune talent émergent Johnson Eziefula qui s’ouvrira le 8 septembre et se poursuivra jusqu’au 22 octobre 2022, au siège bruxellois de la galerie.

Cette exposition met en scène, au cœur des vestiges de l’ancien palais de Bruxelles, des contenus scientifiques et historiques, tout en y intégrant l’interprétation d’une artiste contemporaine.

Après Stéphane Mandelbaum en 2019, le Musée juif de Bruxelles présente l’exposition consacrée à son père, Arié  Mandelbaum (Bruxelles, 1939).

Perle néogothique de la Belle Époque juchée sur les chemins du patrimoine du Finistère, au milieu d’un parc fleuri de camélias, d’hortensias, de rhododendrons et d’œuvres contemporaines, le château rose de Trévarez invite chaque été un artiste à investir les lieux.

Hybridant les formes humaines, végétales et animales, la cire, le tissu et les peaux (d’animaux morts), les sculptures de Berlinde De Bruyckere ont la force expressive des œuvres contemporaines et la portée métaphysique des anciens memento mori.

Grand maître du vide, prônant l’intervention minimale pour susciter une “émotion esthétique” en faisant entrer en résonance des matériaux bruts et des lieux (par le jeu des vides et des pleins, de la présence et de l’absence…), Lee Ufan voit en la sculpture un art d’habiter l’espace.

Même si l’institution culturelle phare de Bruxelles ouvrait officiellement ses portes en 1922, Bozar a choisi de fêter anticipativement son centenaire, ce printemps, en célébrant la création du Palais des Beaux-Arts, réalisation de l’architecte Victor Horta, dont la première pierre fut posée en 1922.

Dans le cadre du partenariat avec Maison Ruinart, la cour Caumont accueille deux sculptures miroitantes, inédites et monumentales, signées Jeppe Hein.

Née en 1989 en Afghanistan, Kubra Khademi développe une oeuvre pluridisciplinaire dont l’esthétique se nourrit autant de la poésie et de l’iconographie persane moyenâgeuse que des pratiques artistiques les plus contemporaines, abolissant les frontières spatiotemporelles avec une acuité et une jubilation hors norme.

Après Théo Mercier, Stéphanie Brossard et Quentin Lefranc, Dana-Fiona Armour investit les salles du programme Rendez-vous, Sous-sol, dédiéesà la recherche plastique et aux pratiques émergentes.

Dans l’exposition réalisée par l’artiste pour la Collection Lambert, les figures et les formes instaurent des récits suspendus où les corps — leurs ombres? — accolés l’un à l’autre, enlacés ou alanguis, inventent des scénarios qui envahissent les salles de l’hôtel particulier du XVIIIe siècle tels les fantômes de nos vies passées ou à venir.