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Au mois de mars, le dessin est célébré à Paris (et dans toute la France).

Véritable rituel pour les amoureux de la chine, des antiquités et de la brocante, la Foire de Chatou ouvrira ses portes le 6 mars pour les détenteurs d’un sésame et le 7 pour les autres, toujours heureux de rallier l’île des Impressionnistes pour ce rendez-vous bisannuel !

L’ANRB organise pour ses membres la 5e édition du « Salon des Arts et du Terroir » : une trentaine d’artistes et d’artisans culinaires expriment tout le talent qu’ils ont dans les doigts. Pour le plaisir des pupilles et des papilles !

C’est en 1913 qu’Ossip Zadkine et Amedeo Modigliani, fraîchement débarqués à Paris, se rencontrent.

Gracieux, enlevé, lapidaire ou minimaliste, le geste de l’artiste se révèle sans artifice dans l’esquisse qu’il réalise, parfois sur le vif, au gré d’une inspiration sentie. Le musée des Beaux-Arts se penche sur l’intimité créatrice d’artistes aussi renommés que Rubens ou Khnopff.

Couple mythique, Hans/Jean Arp et Sophie Taeuber-Arp sont deux figures centrales de l’art abstrait du XXe siècle.

Le travail d’Arpaïs Du Bois (°1973) se caractérise par des cahiers de dessin qui agissent comme des journaux intimes. Ces centaines de cahiers, accumulés au fil des décennies, sont au cœur de son œuvre.

“La plupart des œuvres d’Hélion sont à la croisée de l’abstraction et de la figuration, sans que l’on sache toujours laquelle engendre l’autre.

De la désintégration de la matière à la nucléarisation du monde, en passant par l’image explosive de la bombe, les artistes se sont emparés de l’imaginaire de l’atome depuis le début du XXe siècle. C’est ce que nous propose de découvrir cette exposition réunissant 250 œuvres (peintures, dessins, photographies, vidéos et installations).

Alain Séchas s’est fait connaître, à la fin des années 1990, par ses figures de chats longilignes, aux expressions campées en quelques traits et interpellant le spectateur de leurs grands yeux exorbités.

Coup de cœur absolu pour cette exposition consacrée à Hilma af Klint (Stockholm, 1862-1944).

Évoquer Richard Peduzzi, c’est renouer avec la grande époque de Patrice Chéreau, quand les mises en scène au théâtre avaient du souffle, quelque chose en plus.