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Conjuguant différentes pratiques artistiques (installations, sculptures, dessins, performances, poésie…), Otobong Nkanga (Nigeria, 1974) interroge le lien entre les matières premières et la question de l’enracinement, en y mêlant également les concepts d’identité et de territorialité.

Depuis 1893, le chef-d’oeuvre de David, Marat assassiné, est conservé par les Musées royaux. L’exposition permet d’appréhender l’oeuvre de façon inédite.

Depuis près de cinquante ans, Daniel Pelletti (Brésil, 1948) fait figure d’incontournable de la peinture hennuyère, réinventant un art inclassable à la fois expressif, narratif et revendicatif.

À partir de la fin du XVIIIe siècle, les artistes se sont volontiers représentés en saltimbanque, ce personnage qui met à mal l’honorabilité bourgeoise et politique en même temps qu’il représente leur double critique et comique.

Why do you stand at the door ? est le résultat d’une recherche menée en 2021 et 2022 par l’artiste ukrainien Nikolay Karabinovych (°1988, Odesa*) au sein du Musée Juif de Belgique. Dans le « Project Space », vidéo, son, textes et installation de cet artiste multidisciplinaire sont mis en dialogue avec des publications des années 1920-1930 préservées dans la bibliothèque yiddish du musée, ainsi qu’avec des objets issus du patrimoine juif.

La célèbre fabrique belge de porcelaine Demeuldre, présente à Ixelles pendant près de deux siècles, se réinvente grâce à l’énergie et à l’enthousiasme de Françoise Demeuldre Coché. Cet exceptionnel patrimoine d’art s’expose jusqu’en septembre au château de Louvignies. À ne pas manquer !

À partir du 8 juin 2022, Liaigre et la galerie Archiraar sont heureux de présenter l’exposition « In Silence Colours » réunissant plusieurs artistes émergeants sur la thématique de la lumière.

À partir du 8 juin 2022, Liaigre et la galerie Archiraar sont heureux de présenter l’exposition « In Silence Colours » réunissant plusieurs artistes émergeants sur la thématique de la lumière.

La Fondation Folon accueille jusqu’au 26 juin l’expo temporaire Tomi Ungerer. L’enfant terrible. Bien connu pour ses livres jeunesse (l’inoubliable Trois Brigands, le célèbre Jean de la Lune, etc.).

L’empereur romain Aurélien (270-275) a sauvé l’empire de sa décomposition en quelques années de combat. C’est lui qui instaura le culte du Soleil, le “Sol invictus”, illustrant ainsi la montée progressive du monothéisme dans le monde antique. Sur les ruines de l’ancienne Cenabum, il créa une ville à son nom : Civitas aurelianorum, qui, avec le temps, devint Orléans.

Aux cimaises de la galerie de Guy Pieters (Knokke), l’artiste bruxelloise Barbara De Pauw présente deux séries distinctes : Éclipses et Skylines. Autant de réalisations qui véhiculent de profondes émotions et invitent irrésistiblement à la méditation. En filigrane, un besoin d’expression viscéral.

Rassemblant près de 900 œuvres et documents déployés dans un parcours pluridisciplinaire en huit sections, associant la peinture et la photographie, mais aussi l’architecture, le design, le cinéma, le théâtre, la littérature et la musique, le Centre Pompidou consacre une exposition fleuve à la Neue Sachlichkeit (Nouvelle Objectivité), courant artistique développé sous la République de Weimar (1918-1933), à la veille du nazisme.