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La sculptrice Karen Maarek et le peintre Jorge Estevez exposeront tous les deux à la Maison Épigénétic, à Paris.

Assimilées à des ”théâtres de mélancolie” par Patrick Mauriès dans son ouvrage Néo-Romantiques : un moment oublié de l’art moderne ayant préfiguré l’exposition éponyme du musée Marmottan Monet, les toiles de Sir Francis Rose, Eugene et Leonid Berman ou Christian Bérard auront bien failli passer à la trappe de l’histoire de l’art.

8000 m2 d’exposition, des fresques, des tableaux, des photos, des gravures, des affiches, des maquettes, des sculptures, des robes, des sacs de soirée, des bracelets-poudriers, des flacons de parfum camouflés dans des pendeloques, des tubes de rouge à lèvres et des boucles de chaussure aux allures de buildings… L’exposition dédiée à la diffusion transatlantique de l’Art déco de la cité de l’Architecture est un voyage.

Rares sont les tableaux ayant donné un nom à un courant artistique. C’est ce qui advint d’une marine peinte par Claude Monet, “dans un petit matin blafard”, de la fenêtre d’un hôtel du Havre, en 1872.

Larmes perlant au coin d’yeux contrits ou jaillissant en gerbes de douleur, poings crispés, mouchoirs froissés, corps transis, regards énamourés ou épouvantés, surpris ou attendris…

À moins de 20 minutes à pieds de la fondation Louis Vuitton, le Chalet des îles est un restaurant avec terrasses au bord de l’eau, cheminée, des espaces de réceptions en pleine nature.

Revendiquant “l’écart absolu” entre l’image et le réel, Toyen, (née Marie Cerminova, à Prague, en 1902) crée l’Artificialisme dans les années 1920.

Les voyages de Camille. Suivez-moi pour un weekend artsy, foody & shoppi(ng). Attention : le port de la basket est fortement conseillé… voire obligatoire  !  

Live Music tous les soirs par des Crooners et Artistes d’exception qui interprètent les standards de la variété française et internationale.

Des origines indéterminées au “futur fantasmé”, cette exposition ambitionne de tracer “les contours de l’identité humaine”…

Organisée en collaboration avec le Kupferstichkabinett de Dresde, où elle a été précédemment montrée, cette exposition ravira à la fois les amateurs de dessin contemporain et les adeptes de l’artiste-chamane, pour qui “le dessin [était] le prolongement de l’idée”.

À chacun son Chef-d’œuvre inconnu. Cette œuvre idéale devant conduire par sa quête de l’insaisissable (“le mouvement et la vie”) et par sa perfection à l’au-delà de la peinture, au Sublime…