• HLCÉ

Fête nationale à Luxembourg

Rédaction Eventail

30 June 2015

© Droits réservés

Jour pluvieux, jour heureux, c'est ce qu'on du penser les Luxembourgeois qui ont participé nombreux aux célébrations de la fête nationale.

Cette année, les soixante ans du grand-duc s'ajoutaient aux festivités habituelles. Pourtant né le 16 avril, il est généralement mis à l'honneur en juin. Alors que Guillaume et Stéphanie se sont rendus à Esch-sur-Alzette, le couple grand-ducal a quant à lui rencontré la population de Mondorf-les-Bains. Le reste de l'agenda eut Luxembourg comme cadre avec l'apparition traditionnelle au balcon, sous les parapluies transparents, le passage des troupes en revue, un Te Deum à la cathédrale et une réception en l'honneur du gouvernement et des autorités luxembourgeoises donnée par le grand-duc Henri et la grande-duchesse Maria-Teresa au palais citadin.

Alors que Félix et Claire avaient quitté la Provence, la princesse Alexandra était revenue des Etats-Unis où elle poursuit ses études, tout comme le prince Sébastien qui vient d'obtenir un Bachelor en marketing et communication à l'Université franciscaine de Steubenville, dans l'Ohio.

Une famille grand-ducale au grand complet donc et une succession de tenues très différentes pour les princesses de la maison tout au long de ces quelques jours. Lors de la soirée de gala, les diadèmes furent sortis de leurs écrins et alors que la grande-duchesse, en robe vert d'eau, arborait le diadème 'belge' offert par la Société générale à la princesse Joséphine-Charlotte à l'occasion de son mariage, la grande-duchesse héritière portait le diadème Nassau, orné d'un saphir central bleu clair. La princesse Tessy avait choisi la parure d'améthystes, la princesse Alexandra les topazes et la princesse Claire des rubis, apparus pour la première fois, et parfaitement coordonnés à une robe bustier avec manches bouillonnantes.

Steam Ship Sudan : Le sillage d’un autre siècle

Voyage, Évasion & Escapade

Le Nil avance. Il n’a jamais cessé. Depuis des millénaires, il serpente, indifférent aux révolutions, aux invasions, aux touristes. Il coule entre deux rives où la vie, elle aussi, s’écrit au ralenti : des palmiers courbés par le vent chaud, des villages en brique crue, quelques enfants qui rient en courant pieds nus, des buffles à demi immergés dans l’eau trouble… Et sur ce fleuve qui ressemble à une artère sacrée, un navire glisse. Lentement, sans bruit, comme pour ne pas troubler l’éternité.

Publicité

Dans la Cour des Grands : Les rois de la mort stupide !

Chroniques royales

Faites le test : demandez à vos petits ce que représente vraiment la Toussaint. Ils vous diront, sans l’ombre d’un doute, que c’est Halloween ! Allez ensuite leur dire qu’il y a 25 ans nous, Belges, ne savions même pas ce que cela voulait dire. Car la Toussaint, c’est d’abord la « Fête de tous les Saints », suivie, le lendemain, de la « Fête des Morts ». Mais c’est halloween ça papa ? … heuuu, oui, bon. Vous l’aurez compris, j’ai laissé tomber …

Tous les articles

Publicité

Cocktail de rentrée de L’Éventail

Vie mondaine

C’est dans le quartier historique du Sablon que L’Éventail a dévoilé son numéro de septembre, consacré au Design, lors d’un cocktail de rentrée convivial. Entre design contemporain, antiquaires, galeristes, créateurs et lecteurs fidèles, les univers se sont croisés et entremêlés, créant une atmosphère à la fois festive et inspirante. La soirée s’est tenue au sein de la galerie visionnaire Objects With Narratives, installée dans l’ancienne manufacture de fourrures Raymond Mallien. Dans cet écrin au charme singulier, les invités ont pu découvrir un dialogue subtil entre œuvres, mobilier, reflet de l’esprit novateur qui anime ce lieu unique. © Violaine le Hardÿ de Beaulieu

02/09/2025

Tous les articles