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On a testé pour vous l’Ambassade Biologique Recherche Bruxelles

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Olivia Roks

18 April 2024

Cette marque française serait le secret bien gardé de certaines personnalités… Après Los Angeles, Paris ou Rome, la marque exclusive Biologique Recherche a posé ses valises à Bruxelles, au cœur du prestigieux boulevard de Waterloo. On s’y rend !

Biologique Recherche, quezako ?

Nous avions déjà eu l’occasion de vous offrir une interview sur l’enseigne et ses origines il y a quelques années. Pour rappel, depuis plus de quarante ans, Biologique Recherche conçoit exclusivement en France et commercialise ses soins et ses produits cosmétiques aux formules fortement concentrées, uniquement composées d’actifs naturels ou biotechnologiques sans parfum. Elle cible le secteur des cosmétiques personnalisés.

© Biologique Recherche

Une nouvelle ambassade

Incroyable mais vrai, c’est à Bruxelles, en Belgique, qu’ils ont souhaité installer une ambassade. Actuellement, il y en a environ dix dans le monde. Les prochaines ouvertures sont Milan, Bordeaux ou encore New York. L’adresse se situé en plein cœur de Bruxelles, au 30 boulevard de Waterloo. Au centre de la ville mais nichée dans une cour paisible, l’Ambassade Biologique Recherche Bruxelles se dévoile comme un refuge de sérénité. Chaque espace est pensé spécialement en fonction des protocoles de soins en vue d’offrir une expérience holistique et intense. Côté design, on retrouve le mobilier aux couleurs bleu, blanc et champagne de la marque avec la touche de sophistication propre à Biologique Recherche. On y compte 3 cabines pour des soins simples, 1 cabine double à l’étage, 1 cabine VIP (avec accès PMR), 1 ascenseur et bien entendu un grand espace boutique d’où il est possible de repartir avec les produits.

© Biologique Recherche

Notre avis

Quelle chance d’avoir une ambassade Biologique Recherche en Belgique ! Un lieu élégant à l’univers très parisien. L’efficacité de leurs produits n’est plus à démontrer, mais un soin dans l’antre de cette adresse vient parfaitement clôturer l’expérience. Ici, pas de type de soin en particulier, si vous optez pour le soin visage ou corps, vous devrez juste choisir le temps durant lequel vous souhaitez vous faire bichonner. 45, 60, 90 ou 120 minutes ? Ensuite, l’experte s’adapte en fonction de cd dont votre peau, votre corps ont besoin. Chaque traitement comprend trois phases et propose un moment entièrement personnalisé, spécialement adapté aux besoins de la peau de chaque personne.

© Biologique Recherche

On a tout d’abord un diagnostic dermo-cosmétique très complet, une analyse approfondie de la peau. On perçoit par exemple le taux de déshydratation ou encore l’intensité des taches et si elles sont réversibles, etc. La seconde phase du soin est en quelque sorte une phase d’initialisation avec un nettoyage de la peau associé à un massage aux techniques précises. Cet étape utilise entre autre la lotion P50, produit must de la marque. La troisième étape, est celle du soin où l’experte utilise des produits spécifiques entièrement adaptés et personnalisés, permettant de “reconditionner” l’épiderme. La gestuelle est très importante aussi, on sent que l’experte remodèle méticuleusement le visage où il en a besoin. Le soin terminé, l’essentiel est là : il y a un résultat. Le visage est éclatant, détendu et surtout remodelé, hydraté, lissé.

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Comptant parmi les foires les plus prestigieuses du monde de l’art, la Brafa célébrait sa 70e édition à Brussels Expo, rassemblant 130 galeries venues du monde entier. © Violaine & Constance le Hardÿ de Beaulieu

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En Belgique, de nombreuses initiatives sont proposées pour améliorer la qualité de vie des patients durant la prise en charge de leur cancer : interruption ou adaptation du temps de travail , soins esthétiques, cours de relaxation , groupes de discussion, entretien psychologique, … Il existe également des ouvrages sur la maladie vue par le malade qui aborde le sujet sans tabou et donne les « trucs et astuces » pour passer ce cap au mieux (1). En revanche, dès la fin du traitement, l’attention des soignants et même de la famille est moins présente et le malade (qui ne l’est plus) se sent livré à lui-même. Cet « après cancer » est une étape difficile qu’on commence à prendre en compte dans les services d’oncologie en abordant divers aspects du mode de vie pour éviter les récidives.

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