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Sidonie Panache : la passion du bois

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Olivia Roks

15 October 2024

Séduction instantanée pour les objets en bois signés Sidonie Panache. Issue de la forêt de Soignes, la matière première est taillée pour un quotidien qui sort de l’ordinaire.

Après des études artistiques à Bruxelles, suivies d’un voyage en Islande, extrêmement marquant pour elle, Sidonie Panache ressent le besoin de revenir à l’essentiel : travailler avec ses mains. Cette quête la mène à découvrir l’artisanat du bois lors de voyages au Mali et au Népal, ce qui l’incite à se former à l’ébénisterie à l’Institut des Arts et Métiers, à Bruxelles. Aujourd’hui, elle utilise les outils hérités de son grand-père pour créer des objets uniques, mêlant savoir-faire artisanal et créativité.

Sidonie Panache

© Sidonie Panache

Fascinée par la transformation du bois, elle se consacre à la sculpture et au tournage. Après la naissance de son premier enfant, Sidonie se lance dans la création d’objets du quotidien fabriqués en bois, notamment du hêtre provenant de la forêt de Soignes. En 2022, après plusieurs années de pratique, l’artiste décide de se lancer à son compte et crée un site internet où elle vend des objets tournés et sculptés à la main dans son atelier à Mont-Saint-Guibert. Chaque pièce, vasebougeoirplat ou sculpture est unique et authentique. En 2025, Sidonie compte ouvrir son atelier au public, on se réjouit déjà !

Photo de couverture : © Sidonie Panache

Sous les lustres du Cercle Royal Gaulois, l’art de débattre à la belge

Société

Lieu de rencontre des esprits curieux et des talents en dialogue, le Cercle Royal Gaulois perpétue depuis plus d’un siècle et demi une tradition unique : celle d’un débat cultivé, ouvert et joyeusement belge. Entre art, pensée et société, il demeure un laboratoire d’idées à l’abri du tumulte.

Déjeuner avec Diane Hennebert

Vie mondaine

Diane Hennebert, connue pour son action en faveur de la rénovation de l’Atomium et de la Villa Empain, deux joyaux du patrimoine belge, s’attaque à présent à la rénovation du Pavillon chinois, à Laeken, qu’elle a rebaptisé “Palais des routes de la soie”, endormi depuis plus de onze ans. Dans le cadre des Déjeuners/Conférences organisés par L’éventail, au Cercle Royal Gaulois, elle est venue parler de ce défi audacieux. © Violaine le Hardÿ de Beaulieu

20/05/2025

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