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S’appuyant sur plus de deux siècles d’expertise, Lombard Odier a pour mission d’aider ses clients à atteindre leurs objectifs personnels et à pérenniser leur patrimoine pour les générations futures. Établi en Belgique depuis vingt ans, Lombard Odier est un gestionnaire de fortune et d’actifs mondial résolument engagé dans les investissements durables.

« Être proche de ses clients avec des solutions dans un monde qui évolue rapidement », tel pourrait être le slogan de la Banque Transatlantique Belgium. Cette vénérable institution fait l’objet de notre focus de cette semaine, à l’approche de la fin de notre série sur cette question fondamentale : où et comment investir aujourd’hui ?

Tous les matins de ma vie professionnelle, je consulte un site web dans le domaine de la finance : investir.ch. Et sur ce site, un expert du nom de Thomas Veillet – un vieux de la vieille dans le métier – prend la plume et la parole tous les mêmes matins. Celui-ci décrypte l’actualité financière quotidienne avec précision, documentation, sérieux et… humour ! Et voilà trois leçons que je retiens de lui, et que j’ai faites miennes, en termes d’investissements quels qu’ils soient.

“Private Equity” mais que se cache-t-il exactement derrière cet anglicisme peu sexy qui traduit pourtant une tendance lourde dans le monde de la finance ? Dans le cadre de notre série « Devant la réalité des marchés, où et comment investir ? », nous allons tenter de vous l’expliquer avec deux experts en la matière : Frédéric Pouchain et Sandro Ardizzone, les fondateurs du groupe Whitestone.

Lorsqu’on examine la typologie des krachs boursiers, on constate que les sorties de crises sont toujours douloureuses…

La Belgique et la France ont présenté, fin 2021, leur nouvelle convention fiscale préventive de double imposition. Un traité qui aura des répercussions pour vos investissements et biens immobiliers en France.

Il y a cinquante ans, en avril 1972, naissait le Serpent monétaire européen, à ne pas confondre avec le Système monétaire européen (SME), créé en 1979 et qui aboutit à la création de l’euro en 1999.

C’était l’année 1973. Smoke On The Water avait consacré Deep Purple et Pink Floyd enregistrait Dark Side Of The Moon. Georges Pompidou était président et Richard Nixon devrait démissionner dans la honte du Watergate. Un 11 septembre, déjà, le président chilien Salvador Allende venait d’être fauché par le putsch de la junte de Pinochet. En Grèce, en revanche, le sinistre régime des colonels était renversé.

C’est en 2008 que l’avenir économique a commencé à se soustraire. Ce fut, bien sûr, la crise bancaire suivie de la crise des dettes souveraines. Ce fut aussi un test de survie pour l’euro. Mais c’était, en réalité, autre chose de bien plus profond : le constat que l’épargne, censée nous protéger de l’avenir, n’était plus ancrée.

1971. Voici cinquante ans, les accords de Bretton Woods marquaient la fin des traités monétaires d’après-guerre. Mais ce même été, l’un des “quatre de Liverpool”, le Beatle George Harrison, donnait au Madison Square Garden de New York le concert d’une vie.

Il y a vingt ans, l’euro, sous sa forme physique, apparaissait. D’immatériel et dématérialisé, il devenait symbolique.

L’histoire de la monnaie est fascinante. Et pour cause : elle représente, pour tout humain, un moyen de transaction, mais aussi un moyen de thésaurisation et d’emprunt.